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Marie-Josée NEUVILLE / SUR DEUX NATTES
986930
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2 CD / LA COLLÉGIENNE DE LA CHANSONS / TOUS SES SUCCÈS
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CD 11 Johnny Boy 2 Gentil camarade 3 Une guitare, une vie 4 Les petites pestes 5 Le mariage des oiseaux 6 Crédulité 7 Le petit prince 8 Ma grand-mère 9 Meunier, meunier10 La croisade des enfants11 Le monsieur du métro 12 Dans les trains dans les gares13 Nativité14 À Waterloo 15 Le cheval de mine 16 J’aime pleurer au cinéma 17 On voudrait…on n’peut pas18 J’aurais aimé être un garçon 19 Le petit Danois20 Mes vrais amis 21 Dix-huit ans 22 On fait semblant 23 Pointe pelouse 24 Madeleine des Pyrénées25 Par derrière ou par devant 26 Le garçon que j’attends CD21 Chanson naïve 2 Film à fabriquer3 Fripon (chanson morte) 4 La fille de ta vie5 Prière d’un mauvais garçon 6 Pas de printemps 7 Un grand verre 8 Toi qui es jeune9 Dans la cave 10 La dérive 11 Les œufs du marquis 12 Le château 13 Tout recommence 14 Un petit tour dans les bois 15 Tant d’amour 16 Le petit rayon17 Ca va java 18 Des pas dans la nuit 19 La maison20 Le voltigeurBonusLes 20 ans de Marie-Josée Neuville à l’Olympia21 Tirée par les cheveux22 Dix-moi mon ami23 Je ne t’aimerai jamais24 J’aurai aimé être un garçon25 Te regarder dormir 26 Toi qui es jeune27 Je veux rire28 Les mots de tes chansons
Quand on veut être un enfant toute sa vie, il faut commencer très tôt. Mes jeunes années ont été bercées par les chansons de Marie-José Neuville. Elles continuent à courir dans un coin de ma mémoire et valent toutes les jouvences de l’Abbé Souris du monde. Ce répertoire frais et simple, mais dont la construction représente un travail si délicat, m’a laissé dans l’âme, des marques aussi indélébiles qu’un fer sur le cheval de Johnny Boy.De longues conversations passionnées m’ont démontré que je n’étais pas un cas d’espèce. Vous n’imaginez pas le nombre de mes contemporains qui, en inconditionnels de son répertoire, ont alors copié sa coiffure ou pris leurs premières leçons de guitare. C’était, pour nous, le temps de l’insouciance. Les tympans des adolescents sages que nous étions n’avaient pas encore été perturbés par les yéyé et mai 68.Parfois j’ose évoquer cette époque devant une génération « fin de siècle » en quête d’un nouvel absolu. Cela vous surprendra peut-être, mais il ne me prennent pas pour un vieux con… ; bien au contraire : ils m’envieraient même !Ce disque de « La Collégienne de la chanson » devrait donc toucher leur cœur et leur donner envie de s’exclamer : -« Et si nous essayons, tout simplement d’être heureux ? »Jacques Pessis
CD 11 Johnny Boy 2 Gentil camarade 3 Une guitare, une vie 4 Les petites pestes 5 Le mariage des oiseaux 6 Crédulité 7 Le petit prince 8 Ma grand-mère 9 Meunier, meunier10 La croisade des enfants11 Le monsieur du métro 12 Dans les trains dans les gares13 Nativité14 À Waterloo 15 Le cheval de mine 16 J’aime pleurer au cinéma 17 On voudrait…on n’peut pas18 J’aurais aimé être un garçon 19 Le petit Danois20 Mes vrais amis 21 Dix-huit ans 22 On fait semblant 23 Pointe pelouse 24 Madeleine des Pyrénées25 Par derrière ou par devant 26 Le garçon que j’attends CD21 Chanson naïve 2 Film à fabriquer3 Fripon (chanson morte) 4 La fille de ta vie5 Prière d’un mauvais garçon 6 Pas de printemps 7 Un grand verre 8 Toi qui es jeune9 Dans la cave 10 La dérive 11 Les œufs du marquis 12 Le château 13 Tout recommence 14 Un petit tour dans les bois 15 Tant d’amour 16 Le petit rayon17 Ca va java 18 Des pas dans la nuit 19 La maison20 Le voltigeurBonusLes 20 ans de Marie-Josée Neuville à l’Olympia21 Tirée par les cheveux22 Dix-moi mon ami23 Je ne t’aimerai jamais24 J’aurai aimé être un garçon25 Te regarder dormir 26 Toi qui es jeune27 Je veux rire28 Les mots de tes chansons
Quand on veut être un enfant toute sa vie, il faut commencer très tôt. Mes jeunes années ont été bercées par les chansons de Marie-José Neuville. Elles continuent à courir dans un coin de ma mémoire et valent toutes les jouvences de l’Abbé Souris du monde. Ce répertoire frais et simple, mais dont la construction représente un travail si délicat, m’a laissé dans l’âme, des marques aussi indélébiles qu’un fer sur le cheval de Johnny Boy.De longues conversations passionnées m’ont démontré que je n’étais pas un cas d’espèce. Vous n’imaginez pas le nombre de mes contemporains qui, en inconditionnels de son répertoire, ont alors copié sa coiffure ou pris leurs premières leçons de guitare. C’était, pour nous, le temps de l’insouciance. Les tympans des adolescents sages que nous étions n’avaient pas encore été perturbés par les yéyé et mai 68.Parfois j’ose évoquer cette époque devant une génération « fin de siècle » en quête d’un nouvel absolu. Cela vous surprendra peut-être, mais il ne me prennent pas pour un vieux con… ; bien au contraire : ils m’envieraient même !Ce disque de « La Collégienne de la chanson » devrait donc toucher leur cœur et leur donner envie de s’exclamer : -« Et si nous essayons, tout simplement d’être heureux ? »Jacques Pessis
Quand on veut être un enfant toute sa vie, il faut commencer très tôt. Mes jeunes années ont été bercées par les chansons de Marie-José Neuville. Elles continuent à courir dans un coin de ma mémoire et valent toutes les jouvences de l’Abbé Souris du monde. Ce répertoire frais et simple, mais dont la construction représente un travail si délicat, m’a laissé dans l’âme, des marques aussi indélébiles qu’un fer sur le cheval de Johnny Boy.
De longues conversations passionnées m’ont démontré que je n’étais pas un cas d’espèce. Vous n’imaginez pas le nombre de mes contemporains qui, en inconditionnels de son répertoire, ont alors copié sa coiffure ou pris leurs premières leçons de guitare. C’était, pour nous, le temps de l’insouciance. Les tympans des adolescents sages que nous étions n’avaient pas encore été perturbés par les yéyé et mai 68.
Parfois j’ose évoquer cette époque devant une génération « fin de siècle » en quête d’un nouvel absolu. Cela vous surprendra peut-être, mais il ne me prennent pas pour un vieux con… ; bien au contraire : ils m’envieraient même !
Marie-Josée Neuville, de son vrai nom Josée Françoise Deneuville, née le 10 janvier 1938 à Paris, est une chanteuse française, comédienne et animatrice de radio et de télévision.
Biographie
Dès l'âge de douze ans, Marie-Josée Neuville s'accompagne à la guitare, et monte sur le podium du Salon de l'Enfance. En 1955, alors âgée de 17 ans, Marie-Josée vit avec sa mère à Paris et compose des chansons, inspirée par Georges Brassens. En juin 1955 elle se présente à un concours d'amateurs organisé dans le cadre de la Kermesse aux étoiles. Elle y défend sa première chanson Johny Boy et, face à 800 concurrents, y décroche le 1er prix.
Elle enregistre fin 1955 son premier 45 tours (notamment Johny Boy et Une guitare, une vie) chez Pathé-Marconi et devient la Collégienne de la Chanson (Marie-Josée aura alors l'obligation par Pathé-Marconi de porter des nattes en public jusqu'en 19583). Elle compose elle-même ses chansons, qu'elle chante en s'accompagnant à la guitare.
Ayant remporté un autre concours réservé aux auteurs-compositeurs de chansons, cela lui permet de passer en supplément de programme à l'Olympia en mars 1956. Elle y chante quatre chansons5, dont Le Monsieur du métro : cette chanson, ayant choqué à la fois le public et son directeur artistique, fait que le lendemain la photo de Marie-Josée Neuville figure dans tous les journaux, et la fait devenir célèbre du jour au lendemain. Elle fait la couverture de Paris Match no 363 du samedi 24 mars 1956. On l'entend sur les ondes, son succès envahit les collèges et les lycées.
Elle se produit de nouveau à l'Olympia en octobre 1956, puis dans le programme de Charles Aznavour en mars 1957, et son 2e 33 tours sort en octobre 1957. La censure critique alors les deux dernières chansons (Le Monsieur du Métro et Nativité), qui sont jugées osées : elles sont interdites de diffusion par le Comité d'Écoute.
En 1958, Marie-Josée donne des concerts à l'étranger (notamment au Maroc), et assure la première partie des Platters à l'Olympia8. Son contrat avec Pathé-Marconi ayant pris fin, et souhaitant depuis longtemps se défaire de son image de fraîcheur et de candeur, elle se présente alors au public de l'Olympia avec un tout nouveau look : sans ses fameuses nattes, et maquillée, avec des talons hauts et une robe moulante. Le public et la critique sont très déçus, c'est un fiasco.
En 1961, elle se marie avec Gérard Herzog, homme de télévision et écrivain, et comme elle passionné d'alpinisme. Ils auront trois enfants : Valérie (1961), Rafaële (1962) et Lionel (1964). Un 3e 45 tours sort cette même année.
Elle part en tournée au Québec (1962), au Gabon9 (1963). Durant cette période, Marie-Josée devient comédienne et animatrice de radio.
En 1963, elle joue dans un feuilleton diffusé sur Europe 1 intitulé Cécilia médecin de campagne (aux côtés de Françoise Soulié, Raymond Asso et Roger Dumas, et adapté pour la radio par Gérard Sire). Marie-Josée Neuville y chante Ça va, java ? et La Maison, ainsi qu'une chanson intitulée Pénélope, et avec le chanteur Ricet Barrier La Leçon de charme (sur l'air du Mariage des oiseaux). La même année, sur Radio Luxembourg (aujourd'hui RTL), elle est une des protagonistes[pas clair] de l'émission Jeunesse d'hier et d'aujourd'hui présentée par Gérard Sire.
En 1967, sous la direction de son mari Gérard Herzog, Marie-Josée joue dans La Grande Crevasse, un film sur l'alpinisme basé sur un récit de Roger Frison-Roche. En 1969, elle est l'héroïne dans la série télévisée Commedia, une émission d'improvisation. À partir de 1969, elle participe également à l'émission de télévision Les Animaux du Monde, magazine des animaux avec François de La Grange.
En 1972, elle joue le personnage d'Hélène dans le téléfilm Ossicum, réalisé par Gérard Herzog.
En 1978, elle joue dans le téléfilm Les Palmiers du métropolitain, réalisé par Youri.
Elle est animatrice sur Europe 1 (avec Patrick Topaloff), sur France Inter (avec Jean-Michel Desjeune), et sur RTL (avec Michel de Saint-Pierre).
En 1979, elle publie un roman intitulé La Source perdue chez Gallimard. Elle vit à ce moment-là en Vallée de Chevreuse. À l'occasion de la parution de son roman, Pathé-Marconi produit un 33 tours de ses principaux succès.
En 1980 et 1981, elle tourne dans le téléfilm La Voie Jackson de son mari Gérard Herzog, tiré du roman éponyme. Elle y joue le rôle principal, aux côtés de Guy Marchand, Patrick Floersheim, Samy Frey et Edward Meeks.
En 1980, elle enregistre onze chansons qui ne seront pas publiées. Ce sera finalement en 1998 que le disque Couleur sépia, contenant ces onze chansons ainsi que quatre nouvelles, est publié. La même année, François-Régis Barbry réalise un coffret de deux CD produit par Rym Musique.
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