André Robert Raimbourg, dit Bourvil, est un acteur, chanteur et humoriste français, né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Inférieure)1 et mort le 23 septembre 1970 à Paris 16e.
Fils d'agriculteurs normands, il admire Fernandel et tente de devenir artiste lui aussi. Au départ musicien et chanteur de music-hall et d'opérette, il connaît le succès à la Libération avec la chanson Les Crayons et en se créant un rôle caricatural de paysan normand naïf et benêt, puis avec d'autres chansons sur deux décennies, comme À bicyclette, Salade de fruits, Un clair de lune à Maubeuge et La Tendresse. Il est également tête d'affiche de spectacles populaires, dont La Route fleurie, Pacifico, La Bonne Planque et Ouah ! Ouah !.
En parallèle, il se tourne rapidement vers le cinéma, où il transpose son « comique-paysan », dans des comédies comme Pas si bête (1946), Le Roi Pandore, Le Rosier de madame Husson et Miquette et sa mère (1950), Le Trou normand (1952), Les Trois Mousquetaires (1953) ou encore Les Hussards (1955). Son personnage évolue peu à peu, puis sa carrière prend un tournant grâce à son rôle dramatique d'un chômeur faisant du marché noir sous l'Occupation dans La Traversée de Paris (1956), qui lui vaut le prix d'interprétation de la Mostra de Venise.
Dès lors, il accède à un statut de vedette populaire au répertoire large, alternant les drames et les comédies jusqu'à sa mort en 1970, un grand nombre de ses films s'établissant comme les succès de l'époque ou devenant des classiques du cinéma français, tels que Les Misérables et Le Miroir à deux faces (1958), Le Bossu (1959), Le Capitan et Fortunat (1960), Un drôle de paroissien, Le Magot de Josefa et La Cuisine au beurre (1963), La Cité de l'indicible peur (1964), Le Corniaud, La Grosse Caisse et Les Grandes Gueules (1965), La Grande Vadrouille (1966), La Grande Lessive (!) (1968), Le Cerveau et L'Arbre de Noël (1969), et enfin Le Mur de l'Atlantique et Le Cercle rouge (1970).
Il est le père de l'homme politique Dominique Raimbourg et de l'économiste Philippe Raimbourg.
Biographie
André Robert Raimbourg, alias Bourvil, est le deuxième garçon d'Albert René Raimbourg (1889-1918), décédé de la grippe espagnole durant la Première Guerre mondiale, et d'Eugénie Pascaline Hortense Marie Pesquet (1891-1970), agriculteurs. Il passe son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Joseph Ménard, à Bourville, village natal de sa mère où elle est revenue en 1921. Il a ainsi un frère aîné, René Raimbourg (ophtalmologue au Havre), une sœur cadette Denise (1919-2006), une demi-sœur Thérèse et un demi-frère, Marcel Ménard, futur maire de la commune de Bourville.
Bon élève, il obtient son certificat d'études avec la mention très bien. On le destine à devenir agriculteur, mais il entame des études d'instituteur à l'école primaire supérieure pour garçons de Doudeville. Rebuté par les règles strictes du pensionnat, il retourne deux ans après à la ferme familiale. Il est également un enfant de chœur espiègle et anime régulièrement des fêtes familiales, banquets et kermesses. Il y reprend les chansons de Fernandel en faisant le pitre, ce qui lui vaut rapidement le surnom de « Fernandel normand ». De temps en temps, la famille attelle le cheval de la ferme et se rend au marché de Fontaine-le-Dun, chef-lieu de canton. C'est en 1936, dans cette commune qu'il intègre la fanfare (dans laquelle il joue de l'harmonica, de l'accordéon et du cornet à pistons) et qu'il rencontre un soir à un bal de fête, Jeanne Lefrique (1918-1985) dont le père est contremaître à la sucrerie du bourg.
Mitron à 17 ans dans une boulangerie à Saint-Laurent-en-Caux, il devient boulanger à Rouen en 1936. En 1937, lorsqu'il assiste au spectacle de son idole Fernandel au cirque de Rouen, il décide de devenir à son tour artiste.
Afin de pouvoir choisir son arme, et ainsi rejoindre la musique militaire, il décide de devancer l'appel et s'engage dans l'armée pour deux ans de service militaire. Il est affecté le 20 février 1937 dans le 24e régiment d'infanterie à Paris. Cornettiste dans la fanfare du régiment, il fait rire ses camarades de chambrée qui lui lancent un défi en 1938 : s'inscrire au radio-crochet Les Fiancés de Byrrh à Radio-Paris. Sous le pseudonyme d’Andrel (en référence à son modèle Fernandel), il interprète la chanson Ignace et gagne le prix Byrrh, trois cents francs, aussitôt employés à acheter un accordéon.
Démobilisé après la bataille de France, il exerce de nombreux petits métiers (plombier, garçon de courses pour une entreprise fiduciaire) dans la capitale, mais poursuit sa carrière musicale : radio-crochets, cabarets, music-halls. Les imitations de Fernandel ne faisant plus recette, il se crée le personnage du « comique-paysan » naïf en rabattant sa frange sur le front et en s'affublant d'un pantalon noir et d'une veste étriquée : Andrel devient Bourvil en 19428. Son cousin germain, Lucien Raimbourg, étant déjà dans le métier, il choisit ce nom de scène, afin d'éviter toute confusion, en référence au village de son enfance. Il sera parfois nommé « André Bourvil » (il existe d'ailleurs un « Théâtre André-Bourvil » à Paris 11e). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge.
Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse à Vincennes, dans un minuscule appartement du 25 rue des Laitières, au septième étage sous les toits, où il restera jusqu’en 1947. Il enchaîne ses numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier) à l'accent traînant avec un nouveau répertoire musical, mettant des textes sur la musique de son ami accordéoniste Étienne Lorin rencontré en 1939. C'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débute vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fait sa première apparition au cinéma, en 1945, dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.
Un acteur reconnu
Bourvil sur le tournage du film Les Grandes Gueules, en 1965.
Les premiers films le cantonnent dans son personnage de benêt, mais il se rend progressivement compte qu'il doit se renouveler. Sa popularité commence en effet à baisser et il connaît son premier revers cuisant le 9 décembre 1951 : invité à se produire en vedette devant son public dans un gala au cirque de Rouen, il est sifflé par les Normands vexés de l'image de paysan nigaud qu'il donne d'eux. Il abandonne alors les tours de chant et se lance dans l'opérette notamment avec sa grande complice Pierrette Bruno dont il doit se séparer en 1962 lorsque la presse évoque leur liaison. Malgré les réticences initiales de Marcel Aymé et du producteur, il est engagé par Claude Autant-Lara en 1956 dans le film La Traversée de Paris où il montre toute la palette de son jeu d'acteur. Il tournera à nouveau sous la direction de Claude Autant-Lara dans Le Magot de Josefa, sorti en 1963.
Dans la cinquantaine de films qu'il a tournés, le comique de Bourvil repose principalement sur des rôles de gentil, parfois un peu bête ou naïf, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès.
C'est en 1963 qu'il rencontre Jean-Pierre Mocky qui lui propose de tenir le rôle d'un pilleur de tronc dans Un drôle de paroissien, rôle qu'avait refusé Fernandel. Contre toute attente ce film est un énorme succès populaire. Bourvil tournera trois autres films avec Mocky. Quand Bourvil citera ses six films préférés ce sera Le Cercle rouge, La Traversée de Paris et les quatre qu'il tourna avec Mocky.
Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire de L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film, comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, qui semble être un homme simple. Dans Le Miroir à deux faces, son jeu est méconnaissable : face à Michèle Morgan, il incarne un homme qui manipule une femme laide pour pouvoir l'épouser, puis, lorsque celle-ci devient belle grâce à une opération, il devient ignoble avec elle, jusqu'à la harceler et lui retirer ses enfants. On peut enfin citer son rôle de l'odieux Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Ce grand comique arrive même à verser des larmes dans Fortunat à l'annonce de la mort d'une institutrice qu'il considérait comme sa mère.
Bourvil était un homme très cultivé. Dans les années cinquante, aimant le calme de la campagne, il choisit le petit village de Montainville, car bien relié à Paris par l'autoroute de l'Ouest. Son ami Georges Brassens, qui habitait non loin de là, à Crespières (Yvelines) au Moulin de La Bonde, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon xviie siècle et qu'il lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique de la chanson française. Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre.
Jean-Pierre Mocky (ici en 1995 à Villandraut) a tourné quatre films avec Bourvil (Un drôle de paroissien, La Cité de l'indicible peur, La Grande Lessive (!) et L'Étalon). Mocky a donné à Bourvil des rôles à contre-emploi.
Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée Le Plus Grand Français de tous les temps, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais, un peu l'espagnol et assurait le doublage de ses films en anglais.
Lors du tournage (de mai à septembre 1967) des Cracks, Bourvil chute lourdement de son vélo. Hospitalisé, il en profite pour subir l'ablation d'un simple kyste à l'oreille qui le gêne depuis deux ans. Le chirurgien fait alors un prélèvement et diagnostique une maladie de Kahler. Lorsque son médecin l'en informe, Bourvil décide de ne pas en parler aux gens de sa profession, mais les rumeurs de son cancer courent et les assureurs s'inquiètent,. Ses jours sont comptés, alors qu'il est au faîte de la gloire. Pour tenter de prouver sa bonne santé, il accepte de jouer le rôle principal dans L'Étalon, film tourné en seize jours avec des contrats journaliers, car les compagnies d'assurance ne le couvrent que dix-sept jours (le réalisateur Jean-Pierre Mocky lui avait fait raser le crâne pour dissimuler son alopécie, effet secondaire de la chimiothérapie).
De janvier à avril 1970, il tourne Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville, avec Alain Delon, Gian-Maria Volontè et Yves Montand, où il est crédité pour la première fois avec le nom d'« André Bourvil ». Voulant cacher la gravité de son état, il déclare en avril à la presse être « un homme heureux, en bonne santé et lucide » et annonce son grand retour au music-hall, qu'il avait abandonné depuis dix-huit ans, avec Les Compagnons de la chanson : « Nous préparons, sur une formule très nouvelle, un spectacle enlevé, qui durera deux heures et demie. Je chanterai, soit tout seul, soit en chœur avec eux, mes premier succès, Les Crayons et Les Cartes postales, soit des chansons nouvelles2».
Son dernier grand tournage, Le Mur de l'Atlantique, qui commence le 5 juin 1970, est éprouvant, l'acteur souffrant énormément, bien que le réalisateur Marcel Camus fasse tout pour le ménager, notamment en le faisant jouer le plus souvent assis. Il fait également en juillet une courte apparition dans Clodo, par amitié pour le réalisateur Georges Clair, tournée en une journée ; sa voix est tellement altérée par la chimiothérapie qu'il a dû être doublé.
Après une longue agonie, Bourvil meurt à l'âge de 53 ans le 23 septembre 1970, au milieu des siens, dans son appartement parisien du boulevard Suchet (16e arrondissement).
Le Cercle rouge et Le Mur de l'Atlantique sortent seulement quelques semaines après sa mort, et sont des triomphes. Bourvil repose à Montainville (Yvelines), village où il avait sa maison de campagne. Jeanne Lefrique, son épouse, née en 1918, meurt le 26 janvier 1985 dans un accident de voiture, alors qu’elle se rend de Paris à Montainville sur la tombe de son époux.
Ses films ayant eu la plus grosse audience sont :
1947 : Pas si bête, d'André Berthomieu : 6,16 millions d'entrées
1950 : Le Rosier de Madame Husson, de Jean Boyer : 4,30 millions d'entrées
1950 : Le Roi Pandore, d'André Berthomieu : Léon Ménard, le gendarme.
1951 : Garou-Garou, le passe-muraille, de Jean Boyer
1952 : Le Trou normand, de Jean Boyer, avec Brigitte Bardot : 3 millions d'entrées
1954 : Si Versailles m’était conté de Sacha Guitry : 6,99 millions d'entrées
1954 : Cadet Rousselle d'André Hunebelle : 3,99 millions d'entrées
1956 : La Traversée de Paris : 4,89 millions d'entrées
1956 : Le Chanteur de Mexico : 4,75 millions d'entrées
1958 : Sérénade au Texas, de Richard Pottier
1958 : Les Misérables avec Jean Gabin : 9,94 millions d'entrées
1960 : Le Capitan, d'André Hunebelle, avec Jean Marais et Pierrette Bruno partenaire complice de Bourvil : environ 5 millions d'entrées
1962 : Le Jour le plus long : 11,93 millions d'entrées
1963 : La Cuisine au beurre avec Fernandel : 6,39 millions d'entrées
1965 : Le Corniaud avec Louis de Funès : 11,74 millions d'entrées
1965 : Les Grandes Gueules avec Lino Ventura : 3,59 millions d'entrées
1966 : La Grande Vadrouille avec Louis de Funès : 17,27 millions d'entrées
1969 : Le Cerveau de Gérard Oury avec Jean-Paul Belmondo : 5,57 millions d'entrées
1969 : L'Arbre de Noël de Terence Young.
1970 : L'Étalon de Jean-Pierre Mocky
1970 : Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville, avec Yves Montand et Alain Delon
1970 : Le Mur de l'Atlantique de Marcel Camus, avec Jean Poiret
Le dernier film dans lequel Bourvil fait une brève apparition est Clodo de Georges Clair, tourné en 1970 mais qui ne sortira qu'en 1975.
Théâtre, opérettes, opéra, radios, tournées
1937 : L'Anglais tel qu'on le parle, théâtre aux Armées, caserne de la Pépinière (24e régiment d'infanterie), Paris 8e
1937 : L'Arlésienne, à la Gaîté-Lyrique de Paris, théâtre aux Armées
1938 : Le Music-hall des Jeunes Amateurs, sur Radio Cité
1942 : La Revue du Rire, Théâtre de l'Alhambra (octobre) (avec Ouvrard, Roger Pierre…)
1943 : Ça sent si bon la Revue, Théâtre de l'Alhambra (juillet) (avec Georges Guétary…)
1945 à fin 1947: Pêle-Mêle, sur Radio-Luxembourg, émission de Jean-Jacques Vital (l'inventeur de La Famille Duraton, futur Directeur de Air Production), avec Monsieur Champagne aux jeux, Ray Ventura et ses Collégiens, Henri Génès..; Robert Rocca assure ses textes
1946 : La Bonne Hôtesse opérette de Jean-Jacques Vital et Serge Veber, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Alhambra
1946 : tournée estivale de trois mois en première partie vedette des Collégiens de Ray Ventura, patronnée par Bruno Coquatrix
1947 : Le Maharadjah opérette de Jean-Jacques Vital et Serge Veber, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Alhambra
1947 et 1948 : Constellation 48, émission radiophonique de music-hall sur la RDF écrite par Robert Picq et Pierre Ferrary, présenté par Mauricet, avec Ray Ventura et son orchestre, Henri Salvador..; textes de Bourvil encore avec Robert Rocca
1948 : Les Contes d'Hoffmann, opéra fantastique de Jacques Offenbach, Théâtre des Champs-Élysées avec l'orchestre de l'Opéra-Comique
1949 : Le Bouillant Achille comédie de Paul Nivoix, mise en scène Robert Dhéry, Théâtre des Variétés
1949 et 1950: Le Café du coin, émission radiophonique sur Radio-Luxembourg par Jean-Jacques Vital, avec des textes de Maurice Horgues et Robert Rocca, patronnée par Verigoud puis Cinzano. Jacques Grello est le Barman, et Bourvil Monsieur Chose
1950 : Quelques Pas dans le Cirage, pour trois mois au Québec, avec Roger Pierre (complice deux ans plus tard dans Le Trou normand), Jean Richard, Darry Cowl, dans le cadre de la troupe Les Burlesques de Paris (dont Louis de Funès fera partie quelques mois plus tard, comme pianiste-comédien) dirigée par Max Révol
1950 : M’sieur Nanar opérette de Jean-Jacques Vital, Pierre Ferrary et André Hornez, musique Bruno Coquatrix, mise en scène Fred Pasquali, Théâtre de l'Étoile
1951 et 1952 : Les Aventures de Bourvil, sur Radio-Luxembourg, réalisées par André Sallée, textes de Robert Picq, patronnées par les pâtes Milliat. Bourvil est Marcel Lapierre
1951 : Soucoupes volantes, sur Radio-Luxembourg avec Jean Nohain, émission de Louis Merlin. Bourvil est alors Le Professeur Soucoupe, aux côtés de Pauline Carton et de André Gillois
1952 : La Route fleurie opérette de Raymond Vincy, musique Francis Lopez, mise en scène Max Révol, avec Georges Guétary, Théâtre des Célestins, Théâtre de l'ABC. L'œuvre durera 4 ans sans interruption. Soit, 1302 représentations à Paris, et une tournée en province
1952 : Phi-Phi enregistrement de la célèbre opérette de Albert Willemetz
1956 : Cavalcade avec Georges Guétary, sur Radio-Luxembourg, chacun coachant un groupe d'artistes en compétition, puis
1956 : La Course à l'émeraude, toujours sur Radio-Luxembourg, et Radio Monte-Carlo, et toujours avec Georges Guétary, pour un feuilleton musical, cette fois
1956 : Le Chanteur de Mexico, opérette réalisée par Richard Pottier, scénario de Raymond Vincy, musique de Francis Lopez, avec Luis Mariano et Annie Cordy.
1958 : Knock ou le Triomphe de la médecine de Jules Romains, mise en scène Jean-Louis Barrault
1958 : Pacifico opérette de Paul Nivoix, musique Jo Moutet, mise en scène Max Révol, Théâtre de la Porte-Saint-Martin, avec ses principaux complices de La Route fleurie
1962 : La Bonne Planque de Michel André, mise en scène Roland Bailly, Théâtre des Nouveautés
1965 : Ouah ! Ouah ! opérette de Michel André, mise en scène Roland Bailly, musique Étienne Lorin et Gaby Wagenheim, Théâtre de l'Alhambra
entre 1969 et 1970 : Paillasson, émission quotidienne matinale sur Europe 1, avec Robert Rocca et Maurice Horgues, sous la direction de Lucien Morisse, durant quelques semaines. Jean Richard lui succéda.
Discographie
Article détaillé : Discographie de Bourvil.
Article détaillé : Liste des chansons de Bourvil.
Un hommage lui a été rendu par Tom Novembre en 2006 par l'interprétation de quatorze chansons dans son CD André.
Sketchs et monologues
L'Histoire du jockey (également intitulé Défense d'en rire)
L'ingénieur
L'inventeur
L'unique mousquetaire
La Causerie anti-alcoolique, sketch écrit par Roger Pierre (enregistrement audio [archive], transcription [archive])
Le ministre de l'Agriculture
La plume
Le vélo
Les castagnettes
Mon chien
Une redingote
Le conservatoire
Quand il pleut
Père nourricier
Les terrassiers
Le charcutier
La laide
Frédo le porteur
Vive la mariée
Wikipédia
Ses grands succès
Le pêcheur au bord de l'eau
La tactique du gendarme
La dodon dodue
Les crayons
Pour sur
À bicyclette
C'est le piston
Quand même
Timiche la poupôu
L'ingénieur
Houpetta la bella
La rumba du pinceau
À pied, à cheval en voiture
Je suis content ça marche
Le ministre de l'agriculture
Le boogie yogi
Avec ses castagnettes
Idylle
Chanson anglaise
En revenant de la revue
À la campagne
Ah l'éloquence