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Liste des produits et biographie de Pierre DAC
Auteur, humoriste, chansonnier français
Voir la biographie
André Isaac, chansonnier français, auteur célèbre pour ses “Pensées” et “Maximes”, ses monologues et ses pièces, est né le 15 Aout 1893 et est décédé le 9 Février 1975.
Blessé au bras en1915, puis à la jambe en 1916, il renonce à la carrière de violoniste qu'il envisageait, et emploie sa convalescence à composer des chansons.
Il exerce divers métiers avant de débuter en 1924 dans plusieurs cabarets. Son succès grandissant lui ouvre les portes des Music-halls: Alhambra, Casino de Paris (1936), A.B.C., Empire, Européen. Il est bientôt surnommé le “Prince des Loufoques”, lorsqu'il crée à la Lune Rousse “La Revue des Loufoques” (1935). En Février 1937, Il paraît dans “La Revue des Noctambules”, puis en Mars au Théâtre Michel, et au Moulin de la Galette en 1938-1939. Il lance la S.D.L. (Société des Loufoques) sur Radio-Cité et fonde le Club des Loufoques. Arrêté en 1941 et emprisonné à Barcelone puis à Perpignan alors qu'il essayait de gagner l'Angleterre, il s'évade, fait de la résistance à Toulouse, se rend à Alger et arrive enfin à Londres le 13 Octobre 1943. Dès le 30 Octobre, il assure des émissions à la B.B.C. En Octobre 1944, il fait sa rentrée à l'A.B.C. Le journal comique “L'Os à moëlle” qu'il avait fondé en 1938, devient “L'Os libre” (1945-1948) puis à nouveau “L'Os à moëlle” (1964-1966).Il réalise plusieurs séries radiophoniques avec Francis Blanche (1945) puis avec Jean Richard et Léo Campion (1954-1955). En Janvier 1960, fatigué et dépressif,il tente de se suicider. De 1965 à 1975, il produit la série radiophonique en 850 épisodes “Bons baisers de partout”, et fait une tournée de conférences dans les lycées et les maisons de la culture. En 1972, il publie ses “Pensées” et en 1973 son recueil de souvenirs “Un Français libre à Londres en guerre”. Il paraît une dernière fois en Février 1974, à Bobino, avec Francis Blanche.Il a à son actif plus de 900 chansons. Il a mené parallèlement une carrière cinématographique. On le voit dans le premier film de Christian-Jacques “Le Bidon d'or”. Il paraît aussi dans divers films et courts métrages tirés de ses sketches les plus fameux
Biographie
Maison où Pierre Dac est né, à Châlons-sur-Marne.
Pierre Dac est issu d'une modeste famille juive d'Alsace, originaire de Niederbronn-les-Bains et installée après la défaite de 1870 à Châlons-sur-Marne, où le père Salomon Isaac est boucher et la mère, Berthe Kahn, femme au foyer. Il naît dans cette ville au 70, rue de la Marnenote . Le jeune André a trois ans lorsque Salomon saisit l'occasion d'ouvrir une boucherie au détail à Paris et la famille s'installe rue Caulaincourt. Bon élève doué pour les farces, avec des dons artistiques, ses parents lui donnent des cours de violon tandis qu'ils destinent son grand frère Marcel à reprendre la boucherie familiale1.
Mobilisé en août 1914 au lendemain de son vingt-et-unième anniversaire, il revient du front quatre ans plus tard avec deux blessures : un éclat d'obus lui raccourcit de douze centimètres le bras gauche le 10 mai 1915, un autre le blesse à la cuisse en 1916. Selon lui, son frère Marcel aurait été tué, le 8 octobre 1915, pendant la bataille de Champagne, fauché par un obus allemand. Toutefois, selon les documents officiels, Marcel Isaac n'a pas été tué par un obus, mais est mort d'une embolie, « maladie aggravée au service », et n'est donc pas considéré comme « mort pour la France », bien qu'il soit mort alors qu'il était toujours enregistré en tant que militaire en activité. Cependant, après vérification, l'inscription « Mort pour la France » est bien gravée sur la tombe et celle-ci, attestée par une photographie, était encore lisible en 2010.
Après la Première Guerre mondiale, Pierre Dac vit de petits métiers à Paris, coursier, chauffeur de taxi, homme-sandwich. Dans les années 1920, il est chansonnier dans divers cabarets, notamment La Muse rouge et La Vache enragée dès 1922. Il rencontre en 1923 le chansonnier Roger Toziny qui le force à auditionner pour vaincre sa timidité et lui trouve son pseudonyme « Dac » en référence à ses dons de chansonnier d'actualités tout en rappelant la terminaison de son nom Isaac.
En 1925, il se produit à La grande fête inaugurale de la Chanson des Insurgés, à la salle de l'Utilité publique, boulevard Blanqui à Paris. Cette fête est organisée par le journal L'Insurgé de l'anarchiste André Colomer.
Le 8 janvier 1929, il épouse Marie-Thérèse Lopez, mariage qui se révèle une erreur. Pierre Dac se produit dans les années 1930 au Théâtre du Coucou, au Théâtre de 10 Francs, au Casino de Paris, aux Noctambules et à La Lune rousse de Montmartre, où il rencontre en 1934 la comédienne Dinah Gervyl (1909-1987) (de son vrai nom Raymonde Faure), sa future seconde épouse. René Sarvil lui écrit de nombreux textes qu'il débite d'une voix volontairement monocorde. En 1935, il crée une émission humoristique de radio, La Course au Trésor, et en anime une autre, La Société des Loufoques, qui remportent un grand succès6.
L'Os à moelle
Bas-relief commémoratif de Pierre Dac portant un os en guise de nœud papillon, scellé sur la façade de sa maison natale, à Châlons-en-Champagne (Marne, France).
Le 13 mai 1938, il fonde L'Os à moelle, organe officiel des loufoques, une publication humoristique hebdomadaire au nom inspiré par François Rabelais et par son père boucher (le mot loufoque vient de l'argot des bouchers, le louchébem, et signifie fou). Elle a pour collaborateurs le chansonnier Robert Rocca, les dessinateurs Jean Effel, Roland Moisan, etc. Dès son premier numéro, le journal annonce la constitution d'un « Ministère loufoque », dont les portefeuilles sont distribués « au Poker Dice ». Ses petites annonces — dont la plupart sont rédigées par Francis Blanche, qui débute — vendent de la pâte à noircir les tunnels, des porte-monnaie étanches pour argent liquide, des trous pour planter des arbres, etc. En raison de l'avancée allemande, l'hebdomadaire — dès l'origine très anti-hitlérien — cesse de paraître après 109 numéros, le 7 juin 19407. L'équipe du journal est contrainte de quitter Paris alors sur le point d'être occupé. Il reparaîtra épisodiquement en 1945-1946, puis vers 1965, avec de nouveaux talents, comme René Goscinny (Les aventures du facteur Rhésus) et Jean Yanne (Les romanciers savent plus causer français en écrivant).
Radio Londres
Plaque du 42, boulevard de Strasbourg à Toulouse, où est réfugié Pierre Dac de 1940 à 1941.
Réfugié en 1940 au 42, boulevard de Strasbourg à Toulouse avec Fernand Lefèbvre, futur pilote de la France librenote , Pierre Dac décide de rejoindre Londres en novembre 1941, mais il est arrêté lors de sa tentative de traversée des Pyrénées et incarcéré le 16 novembre 1941 à la Carcel Modelo (prison modèle) de Barcelone8 pendant quatre mois. Il est ensuite remis aux autorités françaises de la zone libre, à sa demande, et il est transféré à la prison de Perpignan le 6 mars 19429, où il ne reste qu'un mois grâce à un jugement très bienveillant.
Au printemps 1943, Pierre Dac tente à nouveau sa chance en essayant de rejoindre en train le Portugal, via l'Espagne, sous une fausse identité canadienne. À nouveau arrêté le 18 mai, il est incarcéré à la prison de Valencia de Alcántara, au sud du pays. Un projet éventé d'évasion lui vaut un transfert le 4 juin à Cáceres, en Estrémadure13.
Il finit par être échangé contre quelques sacs de blé et des fûts d'essence, grâce à des négociations entre Espagnols et Britanniques sous la houlette de la Croix-Rouge française. Il quitte ainsi l'Espagne pour le Portugal le 29 août 1943 et rejoint Alger puis Londres, où il est emmené en avion le 12 octobre, pour y rejoindre l'équipe « Les Français parlent aux Français » de Radio Londres.
Il intervient pour la première fois le 30 octobre 194316. À l'antenne, il parodie des chansons à la mode (Les Gars de la marine devenant « Les gars de la Vermine », Ça fait d'excellents Français, Horst-Wessel-Lied) pour brocarder le gouvernement de Vichy, les collaborationnistes et le régime nazi. Il a été, parmi d'autres, la voix du refrain célèbre de Jean Oberlé « Radio Paris ment, Radio Paris ment, Radio Paris est allemand » sur l'air de La Cucaracha, les paroles de couplet étant l'œuvre de Maurice Van Moppès. Enthousiasmé par ce slogan efficace, Jacques Duchesne, le directeur de l'émission, décida de le placer en générique de l'émission.
Fait unique, Pierre Dac a été nommé, en tant que civil, membre d'honneur du Groupe Lorraine, alors que ce groupe n'était composé que de militaires des forces françaises aériennes stationnées au Royaume-Uni. Il a reçu cette nomination honorifique à la suite d'un déjeuner bien arrosé et qui lui fit oublier de participer à une émission de radio de la BBC prévue cet après-midi là, son seul manquement durant la guerre.
Lorsque, le 10 mai 1944, Philippe Henriot, sur Radio-Paris, s'en prend à Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en mettant en doute son intérêt pour la France, demandant « La France, qu'est-ce que cela peut bien signifier pour lui ? », l'humoriste lui répond le lendemain sur Radio-Londres dans un discours lapidaire baptisé « Bagatelle sur un tombeau », dans lequel il déclare que son frère Marcel, mort au front lors de la Première Guerre mondiale, porte bien sur sa tombe l'inscription « Mort pour la France », alors que sur celle de Philippe Henriot on écrirait « Mort pour Hitler, fusillé par les Français ». Une réponse prémonitoire, puisque Henriot est abattu par la Résistance quarante-huit jours plus tard.
Après-guerre
Annonce pour La Nuit des Evadés de France
À la Libération, il rentre à Paris où il se réinstalle avec Dinah Gervyl (épousée le 6 octobre 1944) au 49 avenue Junot (à deux pas de son domicile, sera baptisée la rue Pierre-Dac en 199522). Il devient membre du comité d'épuration des artistes23. Fidèle à ses engagements patriotiques il se produit, le 22 mars 1946 au Palais de Chaillot à la fois comme artiste et évadé, à la « Nuit des Évadés de France », gala de bienfaisance organisé par l'Union des évadés de France sous la présidence effective du Général de Lattre 24.
Pierre Dac prend officiellement le nom d'André Pierre-Dac à partir de 195025.
Il est reçu apprenti à la loge « Les Compagnons ardents » de la Grande Loge de France le 18 mars 1946 puis élevé au grade de compagnon le 3 mars 1947. Il quitte sa loge le 26 septembre 1955 et rédigera une parodie de rite maçonnique devenue célèbre dans la franc-maçonnerie française, Grande Loge des Voyous, Rituel du Premier Degré Symbolique. Il réalisera des entretiens radiophoniques d'anthologie en Autriche, notamment avec la cinéaste Leni Riefenstahl pour la RDF28. En 1948, il revient au cabaret et surtout au Théâtre des Trois Baudets où Jacques Canetti le produit dans le spectacle Ça va - Ça va pas. Ce spectacle fait place à la revue 39,5° entièrement écrite par Pierre Dac, qui se joue à guichets fermés pendant 440 représentations. À l'équipe de Pierre Dac, s'ajoute un jeune humoriste inconnu, Robert Lamoureux, dont les spectaculaires débuts provoquent l'enthousiasme du public. Le soir où l'on fête la 400ème de 39,5° aux Baudets, Francis Blanche alors comédien dans la troupe des Branquignols rencontre Pierre Dac. Ce coup de foudre amical et professionnel marque leurs débuts à la scène et à la radio. Le 21 avril 1950 débute le spectacle Sans Issue qu'ils joueront un an et demi devant des salles combles. Ils se produiront ensuite à l'ABC, à l'Olympia, à l'Alhambra, au Théâtre de Paris, au Théâtre Édouard VII, etc.).
Il forme avec Francis Blanche un duo mythique auquel on doit de nombreux sketches dont le fameux Le Sâr Rabindranath Duval (1957) qui sera crée au Théâtre des Trois Baudets, et un feuilleton radiophonique en 213 épisodes, Malheur aux barbus, diffusé de 1951 à 1952 sur Paris Inter, et publié en librairie cette même année ; personnages et aventures sont repris de 1956 à 1960 sur Europe 1, sous le titre Signé Furax (soit 1 034 épisodes). Ces émissions sont suivies par de nombreux auditeurs. Plus tard, entre 1965 et 1974, en compagnie de Louis Rognoni, Pierre Dac crée la série Bons baisers de partout, une parodie en 740 épisodes des séries d'espionnage des années 1960, diffusée sur France Inter.
Surnommé par certains le « Roi des Loufoques », pour son aptitude à traquer et créer l'absurde à partir du réel, orateur pince-sans-rire et persifleur hiératique, il manie aussi bien les calembours que les aphorismes.
Son texte Le Biglotron est souvent cité par les amateurs de dépédantisation. Il est l'inventeur du Schmilblick, qui « ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout. Il est rigoureusement intégral ! » Le mot « Schmilblick » sera repris par Guy Lux pour un jeu télévisé (hérité de La Chose de Pierre Bellemare sur Radio-Luxembourg), puis par Coluche pour une parodie de ce jeu restée célèbre.
Publicité de l'École universelle parue dans L'Os à moelle du 2 juillet 1964.
Dépressif, il tente à quatre reprises de se suicider aux barbituriques ou en s'ouvrant les veines entre 1958 et 196031 ; en janvier 1960, sa femme le retrouve inanimé dans sa baignoire : il s'était ouvert les veines aux poignets. Après son hospitalisation, sa femme explique que depuis son retour en France à la Libération, son mari souffre de ne pas retrouver toutes les amitiés sur lesquelles il comptait et qu'il n'a connu sur ce plan que des déceptions, à l'exception de son ami Francis Blanche.
Candidature présidentielle
Entre 1964 et 1966 il fait reparaître L'Os à moelle. Le 11 février 1965, Pierre Dac se déclare candidat à la présidentielle avec le MOU (Mouvement ondulatoire unifié) lors d'une conférence à l'Élysée-Matignon. Le Tout-Paris est là, et applaudit le canular. Les flashs crépitent et Pierre Dac fait son entrée avec ses catcheurs et gardes du corps : il désigne Jacques Martin Premier ministre, et deux de ses futurs ministres, Jean Yanne et René Goscinny.
Après cette journée, il fait paraître régulièrement des discours grandiloquents du Mouvement ondulatoire unifié dans L'Os à moelle, avec le slogan « Les temps sont durs, votez MOU ! ».
Au début de l'été, sa popularité toujours montante inquiète les autres candidats et à l'Élysée, on trouve que « la plaisanterie a assez duré ». Un conseiller du Général de Gaulle, en septembre, par téléphone lui demande de se retirer. Par fidélité pour celui qui fut le chef de la France libre, l'ancien résistant accepte sans attendre. Pierre Dac justifie son retrait par la formule : « Je viens de constater que Jean-Louis Tixier-Vignancour briguait lui aussi, mais au nom de l'extrême droite, la magistrature suprême. Il y a donc désormais, dans cette bataille, plus loufoque que moi. Je n'ai aucune chance et je préfère renoncer. »
Fin de vie et mort
Rue Pierre-Dac, Paris XVIIIe.
En 1972, un square et une statue sont inaugurés en son honneur, à Meulan. Devant les photographes, Pierre Dac et Francis Blanche posent à leur manière, c'est-à-dire en satisfaisant un besoin naturel sur le monument.
Malgré le succès, Pierre Dac est resté un homme modeste, presque effacé. Fumant depuis l'âge de 18 ans, il meurt en 1975 d'un cancer du poumon dans la plus grande discrétion. « La mort est un manque de savoir-vivre », avait-il repris d'Alphonse Allais.
Il est incinéré et ses cendres déposées au colombarium du cimetière du Père-Lachaise.
Jacques Pessis est le « neveu adoptif », biographe et légataire universel de Pierre Dac36.
Distinctions
Legion Honneur Chevalier ribbon.svg : Chevalier de la Légion d'honneur (octobre 1945)37
Croix de Guerre 1914-1918 ribbon.svg : Croix de guerre 1914-1918 avec une palme et cinq étoiles37
Croix de Guerre 1939-1945 ribbon.svg : Croix de guerre 1939-1945 avec une palme37
Medaille de la Resistance ribbon.svg : Médaille de la Résistance37
Filmographie
Cinéma
1930 : Degreve d'André Chotin - court métrage, également scénariste -
1932 : Le Bidon d'or de Christian-Jaque
1932 : Les Gaietés de l'escadron de Maurice Tourneur
1932 : Le Fada de Léonce-Henri Burel - court métrage -
1932 : Y'a erreur (ou Gilberte exagère) de Joseph Tzipine - moyen métrage -
1933 : Les Deux Monsieur de Madame d'Abel Jacquin et Georges Pallu
1934 : Poliche d'Abel Gance
1934 : Voilà Montmartre de Roger Capellani
1935 : Juanita de Pierre Caron
1939 : Le Club des fadas d'Émile Couzinet
1940 : Les Surprises de la radio de Marcel Aboulker - également une participation au scénario -
1949 : Dernière heure, édition spéciale de Maurice de Canonge
1951 : Une fille à croquer de Raoul André
1956 : La Polka des menottes de Raoul André
1960 : Les Pique-assiette de Jean Girault
1961 : La Belle Américaine de Robert Dhéry et Pierre Tchernia
1962 : Césarin joue les étroits mousquetaires d'Émile Couzinet
1962 : Le Gorille a mordu l'archevêque de Maurice Labro
1964 : Allez France ! de Robert Dhéry et Pierre Tchernia
1967 : Ne jouez pas avec les Martiens d'Henri Lanoë
1967 : Le Petit Baigneur de Robert Dhéry
1973 : Par ici la monnaie de Richard Balducci
1973 : Le Trio infernal de Francis Girod
coauteur, avec Fernand Rauzéna, de l'adaptation française du film Hellzapoppin de H. C. Potter.
Télévision
1964 : L'Abonné de la ligne U de Yannick Andréi (série TV)
1969 : Au théâtre ce soir : Le mari ne compte pas de Roger-Ferdinand, mise en scène Jacques Morel, réalisation Pierre Sabbagh, Théâtre Marigny
Théâtre
1936 : Phèdre (à repasser) de Pierre Dac, Casino de Paris
1954 : Chair de poule de Pierre Dac et Robert Rocca, Théâtre Daunou
1955 : La Petite Maison de thé de John Patrick, mise en scène Marguerite Jamois, Théâtre Montparnasse
1956 : Le mari ne compte pas de Roger Ferdinand, mise en scène Jacques Morel, Théâtre Édouard VII
1962, 1963 : Pas d'usufruit pour tante Caroline de Frédéric Valmain, mise en scène Jean Dejoux, Théâtre Tristan-Bernard
1966 : L'Instruction de Peter Weiss, mise en scène Gabriel Garran, Théâtre de la Commune
Merci wikipédia
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