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Liste des produits et biographie de Léo MARJANE
Chanteuse populaire et réaliste française
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Chanteuse populaire et réaliste française
Bien que son nom ne soit plus tout à fait aussi connu, aujourd'hui, que ceux de Maurice Chevalier, d'Edith Piaf ou de Jean Sablon, Léo Marjane reste l'une des rares chanteuses françaises à avoir fait une véritable carrière aux Etats-Unis où elle remportera "l'Oscar de la Télévision Américaine" et finira par être considérée comme un "parfait crooner féminin" ; étiquette d'autant plus flatteuse que le genre semblait être, jusqu'alors, le domaine réservé d'artistes exclusivement masculins.
Au vrai, si l'Amérique a tant aimé la belle Marjane, cela n'était qu'un juste retour de choses ; car celle-ci fut l'une des meilleures ambassadrices qu'ait jamais connue la chanson américaine de ce côté-ci de l'Atlantique. Dès son premier disque, en effet - daté de septembre 1937, alors qu'elle n'a guère que dix-neuf ans - la couleur est annoncée, avec deux adaptations aussi fidèles que réussies de "Chapel In The Moonlight (La chapelle au clair de lune)" et de "September In The Rain (En septembre sous la pluie)". Viendront ensuite, au fil des ans "L'arc en ciel" (le formidable "Over The Rainbow" que chantait Judy Garland dans "Le magicien d'Oz"), "Divine Biguine", d'après "Begin The Beguine" de Cole Porter, "C'est la barque du rêve (When My Dream Boat Comes Home)", "Un soir... Et puis toujours (Goodnight, Sweet Dreams, Goodnight)", "Soir indigo (Deep Blue)", "Simplement, doucement (Heart and Soul)", "Deux voix dans l'ombre (South Of The Border)", et bien d'autres succès de la même veine, qu'elle interprète sans jamais omettre cette petite touche bluesy qui, dans ce registre, est la marque de la véritable authenticité.
Avec la guerre et la débâcle éclair de l'armée française, en juin 1940, le répertoire de Léo Marjane adopte soudain un ton nouveau. Dans un premier temps, la chanteuse épouse les préoccupations de ces innombrables veuves et femmes de prisonniers, pour qui la vie n'est plus qu'une longue solitude ("Seule ce soir") ; mais, bientôt, dans son cabaret de "L'Ecrin", où elle se produit chaque soir, elle adapte peu à peu son tour de chant aux goûts de ce public en uniformes vert-de-gris qui - repos du guerrier oblige - vient se délecter des mirages du gay Paris, et pour lequel elle chante "Bei mir bist du schôn". Une attitude qui lui vaudra de sérieux ennuis à la Libération.
Pour échapper à ces tracasseries - qui, pour certains artistes se traduiront par de lourdes interdictions professionnelles - Marjane se tourne alors vers les Etats-Unis, où elle se réfugie pour une longue tournée de plus de cinq ans, en attendant que les choses se tassent un peu. Rentrée en France vers la fin de l'année 49, elle ne retrouvera jamais tout à fait les faveurs du public ; car, avec l'arrivée des GI's à Paris et la soudaine passion du public français pour le jazz, elle n'a plus l'exclusivité du "style américain". Si bien que - devenue baronne par mariage - elle choisira d'interrompre volontairement sa carrière pour se consacrer à l'élevage des chevaux.
Marc ROBINE
Biographie
Enfance et adolescence
Thérèse Gendebien a deux ans lorsque sa famille dont le père est diplomate s’installe en Rhénanie. Elle passe son enfance en Allemagne, puis en Autriche. Elle a six ans lorsque son père meurt. Elle prend des cours de violon et de piano au conservatoire de Vienne. Sa famille habite ensuite à Marseille. Elle rêve de devenir écuyère, et l’amour des chevaux ne la quittera jamais, mais c’est sur les planches qu’elle monte très tôt. « Je crois avoir toujours chanté, petite fille, je chantais devant les miroirs en faisant des grimaces à mon image4 ». Avec sa voix de contralto, on l’avertit qu’à l’opéra peu de rôles existent. Pensant que c’était insuffisant pour vivre, elle se tourne vers le music-hall.
À quinze ans, elle triomphe au concours Artistica à l’Alcazar de Marseille et à seize ans, sous le nom de Rita Karoly, elle forme un duo avec un chanteur en interprétant des chansons fantaisistes. Mais son premier désir était de devenir avocate6. Il est plus vraisemblable qu'ainsi elle évite de parler de sa première partie de carrière sous le nom de Rita Karoli où elle faisait des numéros de danse et d'acrobatie, ce qu'elle nia jusqu'à ses cent ans : avocate, pas acrobate. Cette coquetterie amusait beaucoup les Marseillais qui avaient assisté à ses débuts au music-hall.
Premiers succès à la scène
À 25 ans, le 20 mars 1938 à Marseille elle épouse le chanteur Raymondey (Raymond Gérard)7. En 1932, elle chante au Caire, au cabaret Le Perroquet puis, de retour à Paris, à l’Alhambra l’année suivante, et au Petit Casino en 1934. Elle adopte alors le nom d’artiste de Léo Marjane « Marjane était la compression de Marie-Jeanne, » puis accompagne son époux à Paris, où elle se produit à Bobino, à l’ABC et chez O'dett en 1931. Elle se fait remarquer par sa voix chaude et envoûtante de contralto, et par sa diction parfaite, au phrasé très moderne. Il est permis de penser que le prénom Léo est l'abréviation de Léonie. Mais les versions provenant de l’intéressée divergent d'une interview à l'autre.
Premiers enregistrements).
Dès 1931, après des essais d’enregistrement infructueux chez Gramophone, elle grave ses deux premières plages pour Columbia, Les Prisons et Paris-Noël. Elle enregistre ensuite C'est la barque du rêve (1936), La Chapelle au clair de lune - In the Chapel in the Moonlight (en) (1937), son premier grand succès. Cette chanson la propulse au devant de la scène, et c’est Jean Bérard, à l’époque directeur de Marconi qui la rappelle à Paris d’urgence, alors qu’elle se trouve en tournée au Brésil avec sa mère. Elle rentre pour enregistrer Begin the Beguine et Night and Day (1938), pour Pathé-Marconi8, et entame une grande carrière à la scène. Léo Marjane considère que sa discographie démarre réellement avec la Chapelle, balayant les deux premiers 78 tours d'un lapidaire : « ce n'étaient que des essais de voix ». Elle reste volontairement imprécise sur la période 1932-37, indiquant simplement « avoir vécu sa vie » lors d’une interview sur France Culture en septembre 2012.
Au cours de l’enregistrement d’un disque au Studio Cognac Jay, elle a l’idée d’amortir certaines syllabes en couvrant le micro de son bas de soie : un procédé si efficace qu’il est encore utilisé de nos jours.
Les États-Unis
Elle met ensuite le cap sur les États-Unis et sillonne le pays pendant cinq ans. Elle est une des rares chanteuses françaises à interpréter des adaptations d’œuvres de compositeurs américains comme Harold Arlen, Hoagy Carmichael, Sam Coslow, Jimmy McHugh, Cole Porter, Jimmy Van Heusen, Harry Warren, Allie Wrubel et Duke Ellington.
« Je peux dire que j’ai introduit le jazz en France. Dans les années trente, nous étions, Jean Sablon, Jacqueline François et moi, les trois artistes français qui venions chaque année chanter aux États-Unis, où chaque hôtel avait son cabaret. C’est ainsi que j’ai découvert le jazz. »
Elle enregistre de nombreux titres dont Over the Rainbow ou Begin the Beguine de Cole Porter.
Les années d'Occupation
De retour en France pendant l’Occupation allemande, Marjane devient une des plus grandes vedettes de la France occupée.
Elle se produit au Concert Pacra en 1941. Elle dirige son propre cabaret, L’Écrin, près de l’Opéra, puis Chez Léo Marjane, et se produit aussi dans d’autres salles à la mode, comme le Casino Montparnasse et les Folies-Belleville.
En 1942, elle remporte un immense succès avec la chanson Seule ce soir11, dans laquelle se reconnaissent les centaines de milliers de femmes françaises dont le mari est prisonnier de guerre en Allemagne ; elle accède ainsi au vedettariat.
Elle divorce le 20 décembre 1943.
La Libération et les critiques
À la Libération, Léo Marjane est poursuivie par les Comités d’épuration pour avoir chanté dans des établissements fréquentés par des officiers allemands ainsi qu’à Radio-Paris.
Elle est arrêtée et jugée, puis finalement acquittée, mais sa notoriété et son image sont durablement atteintes. Elle est frappée d'interdiction de travailler pendant les années qui suivent la guerre, et jusqu’en 1951 ses disques conservés dans les archives de Radio France sont tous estampillés censuré.
« Je ne pouvais pas empêcher les Allemands d’entrer. J’étais connue, célèbre, il était inévitable que j’aie beaucoup d’ennemis. Les Français ont eu honte d’eux-mêmes, alors ils en ont voulu à ceux qui étaient sur le devant de la scène. »
« J’aimerais bien savoir qui n’a pas chanté ? Et ceux qui prétendent ne pas l’avoir fait n’ont pas de mémoire. Il fallait que je gagne ma vie. »
Dans un entretien à l’occasion de son centenaire, elle dévoile :
« Mon mari, le colonel Charles de Ladoucette, que j’ai épousé en 1946 et qui à l’époque était lieutenant, faisait partie d’un réseau de la Résistance dirigé par le colonel Rémy. Et c’est moi, Marjane, qui ai entretenu financièrement ce réseau »
« On a dit beaucoup de bêtises sur moi, ils ont voulu me démolir, (…) Quand on est en haut de l’affiche, on essaie de vous descendre, mais pourquoi démentir quand ce n'est pas vrai ? »
Le rebond
Le 22 août 1946 à Paris, elle épouse en secondes noces Charles, baron de Ladoucette (1912-2007), colonel et écuyer du Cadre noir, partageant une passion commune pour les chevaux. De cette union naît Philippe de Ladoucette.
Sous le nouveau nom de Marjane (« J'avais trouvé le prénom, Léo, et Marjane était la compression de Marie-Jeanne. Puis j’ai supprimé Léo, considéré en Amérique où je me produisais souvent, comme un prénom d’homme, en France aussi d’ailleurs, et je suis restée Marjane6. »), elle tente de relancer sa carrière, avec Mademoiselle Hortensia de Louiguy et Jacques Plante, Mets deux thunes dans l’bastringue de Jean Constantin, Je veux te dire adieu de Gilbert Bécaud, et son interprétation de Secret Love de Doris Day et de Monsieur mon passé de Léo Ferré mais « elle ne tient pas longtemps sous le feu des critiques. »
En 1949, elle abandonne la scène mais continue d’enregistrer. Elle apparaît parfois au Brésil, aux États-Unis ou au Canada, où elle a animé une série d’émissions de télévision musicales, qu’elle double également en anglais, intitulée Quartiers de Paris / District of Paris et dont des archives subsistent à Radio-Canada. Cette partie de carrière est restée ignorée en France. En Amérique, elle connaît un gros succès, notamment à Québec, mais il est trop tard pour recommencer une carrière ; elle fait une rentrée remarquée à Paris en 54 au Moulin-Rouge. Jacqueline François lui obtient un contrat de disques chez Véga alors que le 33 tours Pathé (1954) était resté sans suite. Elle chante jusqu'en 1961, et se produit notamment au Sportpalast de Berlin, avec Zarah Leander au programme ; elle a également chanté en Allemagne de l'Est, accompagnée par les Chœurs de l'Armée rouge.
Le retrait
Mais le métier changeait. Après une rentrée en 1959 à Pacra où elle ne tient l'affiche que quelques jours, en dépit de ses qualités d'interprète, elle comprend que son tour est passé, « Quand ce n’est plus l'heure, ce n’est plus l’heure. (…) Certains partent trop tôt, d’autres trop tard. Je n'avais plus rien à faire dans ce métier ». Mais ses disques, dont les droits voisins sont désormais dans le domaine public pour la plupart, sont toujours réédités en compilations. Elle tente toutefois un bref « come-back » en 1969 qui n'a aucun retentissement, renonçant par la suite totalement au métier et se murant dans le silence jusque 2001, où elle accorde une interview à Martin Pénet pour France Musique.
Carrière au cinéma
En 1943, Léo Marjane débute à l’écran dans le film Feu Nicolas, une comédie de Jacques Houssin avec le comique Rellys. Elle y chante deux superbes blues du futur mari de Line Renaud, Loulou Gasté, avec une puissance et une présence remarquables.
En 1951, elle est la tête d’affiche du film Les Deux Gamines, de Maurice de Canonge, adaptation d’un mélodrame qui avait fait couler beaucoup de larmes autrefois. La chanteuse y chante deux chansons puis disparaît pendant les trois-quarts du film (le personnage qu’elle incarne, Lise Fleury, disparaissant dans un accident d’avion). Marjane n’y apparaît qu’au début et à la fin.
On la retrouve dans un petit rôle de chanteuse des rues dans Elena et les Hommes (1956) de Jean Renoir, et elle prête aussi sa voix à une chanteuse de cabaret dans la version française du film Ariane (Love in the Afternoon) de Billy Wilder, en 1957.
Retraite
À sa retraite, Marjane se consacre à sa famille et à sa première passion, l’équitation et l’élevage de chevaux, à Barbizon, près de Fontainebleau, dans le Gâtinais. Elle meurt des suites d’une crise cardiaque le 18 décembre 2016 à Barbizon, âgée de 104 ans.
Quelques chansons interprétées par Léo Marjane
Léo Marjane a enregistré plus de 180 chansons pour les firmes Gramophone entre 1937 et 1944, Decca France entre 1946 et 1953, Pathé-Marconi en 1954/55, et Véga pour ses derniers titres.
Liste non exhaustive,
L'Âme du diable, paroles de Loulou Gasté et Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943
L'Arc en ciel (Over the Rainbow), musique de Harold Arlen - Marc-Cab, musique du film Le Magicien d'Oz - 1939
À Shanghai ou ailleurs, écrite par Raymond Mamoudy
Attends-moi mon amour, paroles de Jacques Larue, musique d’Alec Siniavine - 1940
Au bord de l'eau, André Grassi - 1952
Ay je l’aime, paroles et musique Charles Aznavour - 1956
Avec ces yeux là, Charles Aznavour, Barclay et Legrand - 1956
Bei Mir Bist Du Shein, – en anglais –, (Sholom Secunda, Sammy Cahn & Saul Chaplin) - 1938
Bei Mir Bist Du Shein – en français –, paroles de Jacques Larue - 1938
Bonjour Tommy (1939)
Bonsoir mon ange, (Good Night Angel), L. Wrubel - Jean Cis - 1939
Brazil-Brésil, A. Barroso et J.Larue - 1947
C’est la barque du rêve, Dave Franklin et Cliff Friend, adaptée en français par Louis Houzeau et L. Palex - 1938
C’est Maman, M. Blot - M. Yvain du film Les Deux Gamines
C’était trop beau, (Heaven Can Wait), J. Van Heusen - Louis Poterat - 1939
C'était une histoire d'amour - 1943 ; non gravée sur disque.
Chanson bleue paroles d’Eddy Marnay et musique d’Émile Stern
La Chapelle au clair de lune, adaptation française par Henri Varna, Léo Lelièvre, Marcel Cabridens, musique de Bill Hill - 1937
Les Croix, paroles Louis Amade, musique Gilbert Bécaud 1952
Clopin-Clopant - 1947
Clair de Lune - 1949
Deux voix dans l’ombre, - 1939
Divine Biguine, paroles de Louis Hennevé et L. Palex, musique de Cole Porter) 1940
En septembre sous la pluie, (September in the Rain), Harry Warren - Jacques Larue - 1937
Était-ce la pluie ? (Was It Rain ?), Lou Handmann - Jacques Larue - 1938
L'Escalier, paroles et musique de Jean Tranchant- 1938
Fumée aux yeux, paroles de Louis Hennevé et L. Palex, musique Jerome Kern - 1933
Et tout ça - date incertaine
Good Night Sweet Dreams Good Night, Teddy Powell - André Hornez - 1938
L'Honorable Monsieur Untel, (I Am in Love with the Honorable Mister So and So), Sam Coslow - Lemarchand - 1941
It’s a Long Way to Tipperary - 1941
Il suffit d'une fois - 1944
J’ai fait tout ça pour rien, paroles de Jacques Larue, musique de Jean Lutèce - 1941
Java, paroles d'Eddy Marnay, musique d'Emil Stern - 1956
J’ai peur d'une chanson (Make Love with a Guitar), Maria Grever - Louis Poterat - 1939
Jamais je n’ai rêvé de vous, A. Siniavine - Jean Solar - 1943
Je fais tout ça pour rien, Jean Lutèce - Jacques Larue - 1941
Je ne crois plus à rien de Jean Lenoir - 1932
Je ne t’aime plus, Wal-Berg - Jean Lenoir & Walter Florel - 1938
Je te dois, Orchestre Raymond Legrand - 1941
Je vous ai souri, (Non dimenticar le mie parole), G. Danzi - Jean Solar - 1938
Katia du film Il peut neiger, paroles de Roger Fernay, musique de Wal-Berg - 1938
Douce harmonie - date incertaine
La Légende du troubadour (Ces années là : 1943)
La chanson que personne ne chantait - 1947
Le Refrain de la pluie, (A Man and his Dream), James Monaco - Jacques Larue - 1941
Les prisons - 1933
Les Feuilles Mortes, Prévert et Kosma - 1950
Luna Lunera orchestre dirigé par Raymond Legrand - 1950
Loin des Sambas, South America, Take it Away, paroles française de Louis Poterat, Musique Harold Rome- 1947
Mademoiselle Hortensia, de Louiguy et Jacques Plante
Mais combien je t'aimais de Jean Lenoir - 1933
Mazeltov, d’André Dassary - 1950
Mets deux thunes dans l’bastringue, Jean Constantin - 1954
Moisson, paroles de René Rouzaud, musique Louis Ferrari - v.1950
Mon Ange, paroles de Jean Féline et musique de Bruno Coquatrix - 1940
Ne dis pas de folies avec orchestre - 1933
Notre valse à nous, paroles de Maurice Martelier, musique de Louiguy - 1942
Mon cœur est léger, Wal-Berg - Camille François - 1940
Mon secret amour, du film Calamity Jane - 1955
Music, maestro, please, Allie Wrubel - Pierre Bayle - 1938
Perdue pour tout le monde, Solar - Marjane - 1943
On m'a volé tout ça, écrite par Florence Véran
On s’aimera quelques jours, paroles de Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943 ; non gravée sur disque mais enregistré à La Joie de Vivre en 1956.
Ô mon prince charmant, Franz Engelen - Solar - 1943
Rose, noir ou gris, paroles de Jacques Larue, musique de Louiguy - 1943
Le Refrain de la pluie - 1938
Rêve d’un soir, paroles Henri Lemarchand, musique Joé Bellingham - 1947
Reviens, Fragson et Christiné1950
Rumba (Blame it on the Rumba), Jimmy McHugh - Valaire - 1937
Sainte Madeleine, Loulou Gasté - Jacques Larue - 1943
Sans toi, je n’ai plus rien, paroles Jean Loysel, musique Théo Mackeben - 1941
Sentimentale, parole et musique de Charles Trenet - 1942
Tu n'as pas compris - date incertaine
Ma vie s'éveille - date incertaine
Sérénade au vent du soir, paroles de Louis Poterat, musique de Francis Lopez - 1944
Sérénade portugaise, paroles et musique de Charles Trenet - 1940.
Seule ce soir, paroles de Rose Noël et Jean Casanova, musique de Paul Durand - 1941
Simplement doucement, (Heart ans Soul), Hoagy Carmichael - Hennervé & Palex - 1938
Soir indigo, (Deep Purple), Peter de Rose - Paul Misraki - 1939
Soir sur la forêt, (Twiling in the Trail), Louis Altier - Louis Hennevé & Louis Palex - 1937
Souvenances, (I’ll Remember), paroles de Henri Lemarchand, musique de Burton Lane - 1941
Sur les pavés de Paris, paroles de Jacques Larue, musique de Jean Lutèce - 1941
Sur ma vie, paroles et musique de Charles Aznavour - 1955
Si tu savais, Georges Ulmer - 1950
Tendrement tristement, paroles de Jacques Larue, musique d’Alec Siniavine
La Tour de Monsieur Eiffel, par Mireille et Jean Nohain - 1955
Le marchand de Poésie - 1950
Luna Lunera - 1950
Tu passeras - 1933
Tenampa, Georges Ulmer - 1950
Tourbilllon - 1953
Un navire sur le fleuve, Paul Bonneau - Francis Blanche) - 1943
Un simple tête à tête, (A Table in the Corner), Dana Suesse - Féline & Lemarchand - 1941
Un soir… et puis toujours - Good Night Sweet Dreams Good Night André Hornez - Teddy Powell - 1938
La Valse au village, paroles françaises de Louis Poterat et Rose Stock - 1939
Votre amour guide mon cœur, Georges van Parys - Bernard & Roland - 1942
Vous et moi, Robert Bosmans - Raymond Lefebvre - 1942
Vous qui passez sans me voir, Johnny Hess, Charles Trenet et Paul Misraki
Vous seul, (My Own), Jimmy McHugh - Henri Lemarchand et A. Mauprey - 1939
When The world was young (Ah the apple trees), Philippe Gérard-Angèle Vannier-Johnny Mercer - 1952
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