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Andalousie
La belle de Cadix
Une nuit à Grenade
Maria Luisa
Ma belle au bois dormant
Don Pasquale
Mayoiumba
Je chante pour toi que j'aime
Perfidia
Intermezzo
Lima
Oublie-moi
C'est la fiesta bohéùienne
Aucune importance
Baïa
Je veux t'aimer
Fandango du pays basque
Argentiine
Mélodie pour toi
Qui sait qui sait qui sait
La vie en chantant
Le clocher du village
La belle de Cadix
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La vie en chantant
Le clocher du village
Luis MARIANO
(Luis GONZALES. Irun - Espagne, 1914 - Paris, 1970) interprète d'origine espagnole. A 23 ans, il se retrouve avec sa famille à Bordeaux, où il suit des cours de chant. Il monte à Paris en 1942 et débute à l'ABC. Première consécration en 1945 dans "La Belle de Cadix" composée par Francis Lopez avec qui il travaillera longtemps. Tout au long des années 50, ce ténor d'opérette, au physique et à l'accent exotiques, enchaînera rôles et refrains à succès déchaînant un enthousiasme essentiellement féminin : Quelques uns de ses plus grands succès : "le Chanteur de Mexico", "Rossignol", "L'amour est un bouquet de violettes", "Le Secret de Marco Polo". La plupart de ses succès serviront de prétextes à des films écrits sur mesure autour de son personnage de séducteur au sourire ravageur, dont Boris Vian écrivait : "Un garçon aussi doué physiquement, scéniquement et vocalement, est condamné à chanter des chansons idiotes. Et ceci pour une raison bien simple : il n'existe pas de répertoire intelligent correspondant aux moyens vocaux de Mariano".
FROM MARIANO
(Luis GONZALES b. Urin, Spain, 1914; d. Paris 1970) a Spanish singer. At the age of twenty-three years he was in Bordeaux with his family. where he took up singing lessons. He moved to Paris in 1942 and started out at the ABC. His first hit came in 1945 with La Belle de Cadiz, composed by Francis Lopez with whom he worked for many years. Throughout the 50s he worked in light opera, his pleasing tenor voice, his foreign accent, combined with his good looks made him extremely popular with female fans who loved his songs such as Le Chanteur de Mexico, Rossignol, L’Amour Est Un Bouquet de Violettes and Le Secret De Marco Polo. Most of his most successful songs served as a pretext for films based on his attractive personality and seductive smile. Boris Vian wrote “A young man with such charm and vocal talent is condemned to sing stupid songs. The reason is simple: Mariano never found an intelligent repertory that suited his vocal gifts.”
Adapted from the French by Joyce Waterhouse
Biographie
Mariano Eusebio González y García est le fils de Mariano González y García, garagiste mécanicien, et de Gregoria García Molpereces, brodeuse à domicile. Le couple González vit à Bordeaux depuis 1912, date à laquelle ils se sont mariés. Pour la naissance de leur premier enfant ces derniers décident de retourner en Espagne. C'est ainsi que naît Mariano le 13 août 1914 à 1h30 du matin à Irun. Par superstition du nombre, sa mère demandera à son mari de falsifier la date et l'heure de naissance. Ainsi, Luis sera considéré jusqu'à sa mort comme né le 12 août à 23h30.
L'Espagne est épargnée du Premier conflit mondial, cependant la famille González est des plus modestes. Irun étant une ville douanière, la mère de Mariano s'autorisera à faire de la contrebande d'absinthe en France, boisson qui était alors interdite, afin de de faire quelques sous en plus. À la naissance de María-Luisa, leur second enfant, le 3 octobre 1916, les González retournent s'installer à Bordeaux afin de mieux gagner leur vie. Là, Mariano est scolarisé dans une école maternelle catholique. Il ne parle cependant pas le français, la langue parlée au domicile familial étant l'espagnol. Il apprendra le français par des religieuses à partir de ses 4 ans, mais ne l'utilisera que rarement. La famille se réinstalle ensuite à Irun où son père reprend un petit garage sous franchise Citroën. Le jeune Mariano est inscrit à l'école des Pères français de Saint-Jean-Baptiste de la Salle de Saint-Sébastien où il se révèle doué pour le dessin et le chant, mais dans aucune autre matière scolaire. Il est destiné par ses parents à devenir garagiste comme son père, mais celui-ci préfère les arts. Il prend des cours de violon là où sa sœur, également très douée pour le chant, prend des cours de piano, mais ce sera en vain pour tous les deux. Il est cette fois destiné à devenir architecte et prend des cours de dessin industriel. Mariano garda secret son envie de devenir acteur, puis chanteur lorsqu'il s'aperçoit de l'admiration de ses camarades de chœur. En effet, parallèlement à la scolarité, il est inscrit à 14 ans à la chorale Irun'go Atsegina et à 18 ans dans l’Orphéon Donostiarra de Saint-Sébastien, chœur mixte où, vu ses capacités vocales et sa tessiture, il est le ténor soliste.
Lors de la guerre civile espagnole, la famille du jeune prodige quitte l'Espagne pour Hendaye, la ville voisine d'Irun en France. Les González n'ayant emporté aucun bien avec eux dans la précipitation, ils espèrent longuement la fin des hostilités afin de retrouver leur domicile. Mais celui-ci sera bombardé et détruit, comme l'entièreté d'Irun, par les troupes franquistes. C'est alors que la mère Gregoria falsifie à nouveau les papiers du jeune homme, changeant sa date de naissance en 12 août 1920 afin de lui permettre d’échapper à la conscription. De 1937 à 1939 Mariano est deuxième ténor dans le groupe vocal Eresoinka avec lequel il chante dans toutes les capitales européennes (salle Pleyel, Chaillot et opéra de Paris, Bruxelles, Amsterdam et Londres) au profit des résistants basques et espagnols. Avec ce groupe, Luis enregistre pour la première fois sa voix en 1937, en participant à l’édition d’un disque de chansons populaires4. En vue de sa carrière qui débute, il changea son nom d'artiste en "Mariano" car son nom "González" a été quelquefois moqué. La même année, il tourne dans son premier film, Ramuntcho, qui est une adaptation du roman de Pierre Loti.
Les conditions misérables de la famille González les poussent à retourner à Bordeaux en 1940, tandis que Mariano loue une chambre chez un habitant de Sare. Il rencontre dans ces années là un basque né à Montbéliard nommé Francis Lopez. Ce dernier le conseil de tenter sa chance à Paris car il le sait doté d'un grand talent. Pour gagner quelques sous, il va faire la plonge au cabaret Le Caveau des Chartrons jusqu’au jour où le chef d’orchestre du cabaret, Fred Adison, découvre que Luis a « une voix d’or ». Il passe alors directement en salle où ses prestations enflamment le public et se produit dans le célèbre orchestre de tangos de Raphaël Canaro. En décembre 1939, la guerre met fin à ses contrats de chanteur d’orchestre. Il s'occupe alors des vendanges dans le vignoble d'un riche importateur de café du nom d'André Varon. Il passe avec succès le concours d’entrée du conservatoire de Bordeaux en classe de chant. Son directeur, Gaston Poulet, notera sur le grand registre du Conservatoire : « Je viens d'entendre un type formidable : il se nomme Gonzalez ». À Bordeaux, le 7 décembre 1939 Gaston Poulet lui fait rencontrer la cantatrice Jeanine Micheau qui lui prédit un grand avenir et l’incite à travailler sa voix.
Débuts
En 1941, Luis s’inscrit à l’école des beaux-arts de Bordeaux pour échapper au travail obligatoire en Allemagne. C’est à cette époque qu’il rencontre Jeanne Lagiscarde, gérante d’un magasin de disques de Bordeaux. Cette femme influente dans les milieux artistiques de la ville prend en main la carrière du jeune Mariano et le persuade de tenter sa chance à Paris. En septembre 1942, Luis Mariano quitte le Conservatoire de Bordeaux, se rend à Paris muni d’une lettre d’introduction de Jeanine Micheau et va recevoir des leçons du grand ténor basque, le maestro Miguel Fontecha et ceux d’interprétation théâtrale de Maurice Escande. Fontecha lui faisant comprendre qu’être chanteur d’opéra exige une ascèse que Mariano ne se sent pas capable de suivre, il l’incite à devenir chanteur de bel canto et lui enseigne cette technique de chant dans la plus pure tradition lyrique italienne, se caractérisant par la beauté du son et la recherche de la virtuosité.
Luis Mariano remonte sur la scène du palais de Chaillot en décembre 1943, cette fois dans le rôle d’Ernesto de Don Pasquale (au côté de Vina Bovy et Gilbert Maurin), ses roucoulades lui valant un triomphe. En attendant le résultat d’une audition à l’opéra comique, il chante dans des spectacles de variété à la radio. Il commence à être connu.
En 1943, il apparaît dans le film L’Escalier sans fin aux côtés de Madeleine Renaud et de Pierre Fresnay. Le jeune Luis González y chante Seul avec toi, un titre signé Loulou Gasté.
C’est en 1944 que Luis González devient Luis Mariano, comme en témoignent la presse et les affiches de l’époque. La « légende marianiste » veut que la chanson Ramón, créée par Betty Spell et popularisée par le chanteur Andrex, ait été pour beaucoup dans son changement de nom. La chanson comporte en effet le refrain « Il s’appelait Ramon y Gonzales y Cordoba », risquant de susciter de mauvais jeux de mots avec le nom du jeune ténor.
En 1945, Luis enregistre ses premiers disques : Amor Amor et Besame mucho. En avril, il se produit au Théâtre de Chaillot avec la cantatrice sud-américaine Carmen Torres. En novembre de la même année, toujours à Chaillot, il partage l’affiche avec Édith Piaf et Yves Montand. Il participe à Paris à des concerts organisés par la revue Galeria au profit des Républicains espagnols9.
Luis fait la connaissance de Francis Lopez, Raymond Vincy et Émile Audiffred. En décembre 1945, il crée leur première opérette La Belle de Cadix, qui devait décider de sa carrière (24 décembre 1945 au théâtre du Casino Montparnasse). Prévue pour être produite six semaines, La Belle de Cadix va tenir l’affiche pendant plus de cinq ans. Le disque qui est tiré de l’opérette et qui comprend le titre Maria Luisa fait exploser les ventes : 1 250 000 exemplaires seront vendus. Pathé-Marconi est obligé de réaménager ses chaînes de production pour faire face à la demande.
Consécration
Luis Mariano aux côtés d'Annie Cordy lors de la répétition de Visa pour l'Amour au Théâtre du Capitole de Toulouse en 1964.
La popularité de Luis Mariano grandit rapidement. Pendant une dizaine d’années, il domine le monde de la chanson et de l’opérette. On l’entend notamment dans Fandango (1949). Le point culminant de sa carrière peut se situer en 1951-1952, années du Chanteur de Mexico et du film Violettes Impériales. Au théâtre, outre Le Chanteur de Mexico (1951), il triomphe dans Andalousie (1947) et Chevalier du Ciel (1955).
Pour le cinéma, de 1945 à 1958, Mariano joue dans une vingtaine de films qui sont traduits dans de nombreuses langues. Parallèlement il donne des récitals dans le monde entier : États-Unis, Canada, Amérique du Sud, où partout une foule énorme l’attend dès sa descente de l’avion ou du bateau. Lorsqu’il arrive en Uruguay, on craint le pire, tellement le mouvement de masse populaire déclenché par son arrivée est important. Sur le port de Montevideo, 60 000 fans ont fait le déplacement pour le voir descendre du transatlantique et 100 000 personnes seront présentes au concert qu’il donne dans la capitale de l’Uruguay. Au Mexique, ce sont 160 000 fans qui l’acclameront dans le stade de Mexico.
En 1957 et 1959, Mariano accompagne la caravane du cirque Pinder sur les routes de France, puis il se produit à l’Olympia.
Les années 1958-1960 marquent un certain tournant dans la carrière de Mariano. Les yéyés envahissent les ondes et les écrans de télévision. Mariano a toujours autant de succès sur les théâtres d’opérettes : Le Secret de Marco Polo (1959), Visa pour l’amour (« véritable jouvence pour l’artiste »), le Prince de Madrid (1967), sont de véritables succès.
Signalons toutefois une tournée triomphale en Roumanie (1966), et l’enregistrement d’un disque de chansons espagnoles et d’un disque de chansons napolitaines. En province, il faisait des reprises très remarquées du Chanteur de Mexico et de La Belle de Cadix (pour le vingtième anniversaire de cette création).
En décembre 1969, il assure la création de La Caravelle d’or au théâtre du Châtelet, mais ayant contracté une maladie, probablement une hépatite mal discernée, mal jugulée, il abandonne son rôle au bout de quelques mois après un malaise sur scène.
Mort
Tombe de Mariano à Arcangues.
Le 14 juillet 1970, Luis Mariano meurt à la suite d’une hémorragie cérébrale à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris. Sa tombe au cimetière d’Arcangues est encore visitée et fleurie par ses fans, cinquante ans après sa mort.
Vie privée
Luis Mariano était titulaire de diverses décorations, dont l’ordre espagnol d’Isabelle la Catholique.
Il vécut la majeure partie de sa vie en France.
Il n’a jamais été marié. À 16 ans il tombe amoureux d’une jeune Basque d’Irun, Maria-Pilar Eguiluz qui est déjà engagée et dont le fiancé, soldat, ne reviendra jamais du front. Maria-Pilar restera célibataire jusqu’à sa mort en 2004 à 87 ans. Selon Patxi Lacan, homme de confiance et chauffeur de Mariano, on connaît deux femmes au ténor : Martine Carol à partir de 194815 et Carmen Sevilla à partir de 1950. Il demande cette dernière en mariage, mais elle refuse, se sentant trop jeune pour sacrifier sa carrière.
Après 1953, on ne connaît plus de femme dans la vie de l’artiste. Des rumeurs de préférences homosexuelles circulent, mais elles sont démenties par des proches de l’artiste comme le comédien et peintre Guy-Pierre Geneuil. Christophe Mirambeau a cependant révélé dans sa biographie Saint Luis que « Carmen Sevilla ne voulait pas avoir de relations avec un monsieur dont elle savait qu’il était homosexuel » et que Mariano aurait eu une aventure masculine avec un soldat, ce qui vaut au biographe la rancœur tenace des marianistes. Un autre biographe, Henry-Jean Servat, prétend dans son livre Luis Mariano, les mélodies du bonheur paru en 2013 : « Mariano était gay. »
L’ancien agent artistique Dominique Besnehard affirme, au détour d’une réponse sur l’homosexualité dans les milieux artistiques, publiée en février 2015, que « Luis Mariano avait une garçonnière pour garçons et [que] tout le métier le savait. »
Postérité
En 1952, Luis Mariano acquiert au Vésinet (dans la Seine-et-Oise, aujourd’hui les Yvelines) une villa des années 25, au 86 boulevard Carnot21. Il la baptise Magreluma, nom composé de la première syllabe du prénom de chaque habitant : « Ma » pour son père, « Gre » pour sa mère, « Lu » pour lui-même et « Ma » pour sa sœur. Il y habite jusqu'à sa mort. La villa s'appelle aujourd'hui « Les Lionceaux ».
En 1960, il fait construire une maison à Arcangues, au bout du chemin de Larrebidea, l’hacienda Marianoko Etxea (« maison de Mariano » en basque), ferme avec trente vaches – certaines portaient le prénom de ses partenaires de scène et de cinéma : Carmen (Sevilla), Ludmilla (Tcherina), Martine (Carol) ou Annie (Cordy) – et vingt hectares de prairie. Cette propriété est entretenue par François Lacan, dit Patxi (prononcer « Patchi »), fidèle secrétaire, homme de confiance et chauffeur de Mariano (de 1949 à 1970).
Selon le testament de Luis Mariano rédigé en 1968, Patxi et sa femme Françoise Lacan jouissent de l’usufruit jusqu’à leur mort tandis que leur fils aîné, Mariano Lacan (adopté en 1967 par le chanteur — en adoption simple — qui voulait assurer sa succession et l’avenir de cette famille amie) en est le propriétaire. Bien que l’héritage soit modeste (1 000 euros par an de royalties, Luis Mariano n’étant qu’interprète et ses films appartenant à Canal+ et à René-Château), il ne suffit pas à entretenir l’hacienda et est source de conflits. Patxi Lacan a en effet cédé des bouts de terrain, puis la ferme en 2005 mais veut conserver les biens du chanteur. Mariano Lacan, qui n’a découvert qu’en 2002 être l’unique héritier légal du ténor, souhaite au contraire faire fructifier le patrimoine artistique du chanteur, prêtant pour trente ans les archives au futur musée Luis Mariano à Irun, sa ville natale.
L’office du tourisme d’Arcangues expose le buste en bronze de Mariano sculpté par Paul Belmondo.
Les roucoulades et les mélodies ensoleillées de Luis Mariano ont favorisé les déplacements vers l’Espagne, ce pays du soleil dont il entonnait la louange, mais elles suscitent désormais moins d’enthousiasme de la part de nombreux programmateurs d’émissions de radio qui les trouvent passées de mode24. Cependant des chanteurs lyriques comme Roberto Alagna, Maria Callas, Cécilia Bartoli ou Rolando Villazón vouent au ténor une grande admiration (notamment pour sa technique du bel canto et du rubato). Quant aux chanteurs de variété comme Florent Pagny ou Nolwenn Leroy, ils lui rendent hommage lors du dixième numéro de La fête de la chanson française.
Œuvre
Opérettes
La musique des opérettes créées par Luis Mariano est de Francis Lopez, à l’exception de celle de Chevalier du ciel composée par Henri Bourtayre.
La Belle de Cadix 1945
Andalousie 1947
Le Chanteur de Mexico 1951
Chevalier du ciel 1955
La canción del amor mío 1958
Le Secret de Marco Polo 1959
1961 : Visa pour l’amour de Raymond Vincy et Francis Lopez, mise en scène René Dupuy, Théâtre de la Gaîté-Lyrique
Le Prince de Madrid 1967
La Caravelle d’or 1969
Films
1938 : Ramuntcho de René Barberis - Figuration chantée
1943 : Le Chant de l'exilé d'André Hugon - Un jeune Basque
1943 : L’Escalier sans fin de Georges Lacombe - Le chanteur
1946 : Luis-Mariano chante de Louis Leclerc - court métrage , 22 min - Lui-même
1946 : Histoire de chanter de Gilles Grangier - Gino Fabretti
1946 : Gai Paris : Music-hall de Lucette Gaulard - court métrage
1947 : Cargaison clandestine d'Alfred Rode
1948 : Fandango d'Emil-Edwin Reinert
1948 : Je n’aime que toi de Pierre Montazel - Don Renaldo
1949 : Pas de week-end pour notre amour de Pierre Montazel - Franck Reno, la vedette
1949 : Vedettes en liberté de Jacques Guillon - court métrage, documentaire 20 min - Lui-même
1951 : Andalousie de Robert Vernay : Juanito Var
1951 : El sueño de Andalucia de Luis Lucia Mingarro : Juanito Var
1951 : Au pays basque de Pierre et Jean-François Apestéguy - court métrage, documentaire de 750 m - Lui-même
1951 : Rendez-vous à Grenade de Richard Pottier - Mario Da Costa
1952 : Violettes impériales - (Violetas imperiales) de Richard Pottier - Juan de Ayala
1953 : La Belle de Cadix de Raymond Bernard et Eusebio Fernandez Ardavin - Carlos
1953 : Paris chante toujours de Pierre Montazel - Participation en chanteur
1953 : La Route du bonheur - (Saluti e baci) de Maurice Labro et Giorgio Simonelli - Participation en chanteur
1953 : L’Aventurier de Séville - (Aventuras del barbero de Sevilla) de Ladislao Vajda - Figaro
1954 : Le Tzarevitch (en) - (Der Zarewitsch) d'Arthur Maria Rabenalt - Luis Mariano / Aljoscha
1955 : Quatre jours à Paris d'André Berthomieu - Mario, le coiffeur pour dames
1955 : Sur toute la gamme de Maurice Régamey - court métrage
1955 : Napoléon de Sacha Guitry - Le chanteur Garat
1956 : Le Chanteur de Mexico - (El cantor de México) de Richard Pottier - Miguel Morano et Vincent Etchebar, son sosie
1956 : À la Jamaïque d'André Berthomieu - Jacques Gardell
1956 : Printemps à Paris de Jean-Claude Roy
1958 : Sérénade au Texas de Richard Pottier
1960 : Candide ou l’Optimisme au xxe siècle de Norbert Carbonnaux - Un dictateur sud-américain
1964 : Les Pieds dans le plâtre de Jacques Fabbri et Pierre Lary - L’agriculteur
Quelques succès
L'amour est un bouquet de violettes
Andalucia mia
Acapulco (de l’opérette le Chanteur de Mexico)
Maria-Luisa (de l’opérette la Belle de Cadix)
Granada
J’ai dans mon cœur une chanson
España (de l’opérette le Prince de Madrid)
La vie est là
Mattinata
Mayoumba
Je chante pour toi que j’aime (du film Histoire de chanter)
Le ciel luisait d’étoiles (de l’opéra Tosca)
Mélodie pour toi (du film Cargaison clandestine)
Prière péruvienne
Cavalier du grand retour (reprise de Gilbert Bécaud)
Plus je t’entends (reprise à Alain Barrière)
Oublie-moi
Mexico
La Belle de Cadix
Rossignol de mes amours
Olé toréro
Visa pour l’amour (avec Annie Cordy)
Quand on est deux amis (avec Albert Pierjac)
Il est un coin de France - 1957
Le Charme de Dolorès
Maman la plus belle du monde
Marco Polo (de l’opérette le Secret de Marco Polo)
Le Voyageur sans étoile (reprise du grand prix du Coq d’or 1961 créée par John William)
Combien de nuits (Tonight de l’opéra West Side Story)
Un train bleu dans la nuit
Si tu voulais ( Just Yesterday )
Alma llanera
Maïte
Mon bonheur s'est enfui
Par delà (Al dil là)
Merci wikipédia