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La PALMA / 1930 - 1936
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"LA GLU" ET AUTRES SUCCÈS / 1 CD RÉÉDITION EPM-CHANSOPHONE
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1 Tu me demandes si je t'aime
2 Te revoir un soir
3 Viens près de moi
4 La chaîne
5 Personne
6 Mensonges
7 Au son de l'accordéon
8 Tous les rêves d'amour
9 La Fortune
10 Nous ne sommes pas faits l'un pour l'autre
11 L'Idole blanche
12 La Glu
13 Je te veux cette nuit
14 Avant d'être capitaine
15 Garde mon cœur
16 Prends-moi dans tes bras
17 Tu voudrais me voir pleurer
18 J'ai peur de savoir
19 Dis-moi tout bas
20 Je vous attendrais
21 Dans ses bras
22 Ne parle pas
23 Les Nocturnes
2 Te revoir un soir
3 Viens près de moi
4 La chaîne
5 Personne
6 Mensonges
7 Au son de l'accordéon
8 Tous les rêves d'amour
9 La Fortune
10 Nous ne sommes pas faits l'un pour l'autre
11 L'Idole blanche
12 La Glu
13 Je te veux cette nuit
14 Avant d'être capitaine
15 Garde mon cœur
16 Prends-moi dans tes bras
17 Tu voudrais me voir pleurer
18 J'ai peur de savoir
19 Dis-moi tout bas
20 Je vous attendrais
21 Dans ses bras
22 Ne parle pas
23 Les Nocturnes
La Palma est une chanteuse française, née Marie Dalmazzo le 5 octobre 1896 à Épinal et décédée le 7 octobre 1979 à Nîmes1. Son père était un lutteur originaire de Marseille. Elle eut une brillante carrière entre les années 1920 et 1950 dans plusieurs salles parisiennes de l’époque.
Parcours
Elle fait ses débuts sous le nom de La Palma qu’elle se choisit en montant pour la première fois sur une scène, celle de l'Apollon, à Bordeaux[réf. nécessaire]. Elle se retrouve à Paris durant la Grande guerre pour aboutir à Marseille après la fin de celle-ci. Sa notoriété grandit dans tout le midi de la France, mais ne s’y limite pas puisqu’elle fait de fréquentes incursions à Paris pour y chanter avec le même succès. Sous l'occupation allemande, elle et son mari, Édouard Jalabert, directeur de l'Apollon, deviennent résistants et seront faits prisonniers. Après la guerre, elle ouvre un café à Marseille tout en se retirant peu à peu du spectacle.
Entre 1930 et 1933, « La Palma de L'Empire », comme certains l’appelleront après son passage à L'Empire, enregistre quelques titres sur disque 78 tours, tels La Chaîne, La Glu, ou encore Je te veux cette nuit, Nous ne sommes pas faits l'un pour l’autre, Tu voudrais me voir pleurer (Bénech et Dumont) ou J'ai peur de savoir.
Au hasard des déplacements de son père, Pietro Giovanni Filippo Dalmazzo, 45 ans, un artiste ambulant,lutteur originaire de Marseille, elle est née à Épinal (Vosges), le 3 octobre 1896. Sa mère, Anne Delmas, 37 ans,est également artiste ambulante.
À seize ans, attirée par la chanson, elle choisit le nom de "La Palma" et devient "chanteuse réaliste", débutant en première partie d'un récital de Dalbret à l'Apollon de Bordeaux.
Elle monte à Paris au cours de la guerre 14-18 et passe au Concert Mayol puis rentre à Marseille où elle finit par s'établir.
En 1919, elle fait partie des programmes de l'Alcazar et du Palais de Cristal. Sa réputation s'étend dans tout le midi. Pendant dix ans, elle chante dans les salles d'Aix-en-Provence, de Toulouse, de Nice tout en étant présente régulièrement à Paris où, en 1930, elle est en vedette à l'Empire.
Jusqu'à la guerre, elle chantera partout : à Bobino, au Gaumont-Palace, à l'Alhambra... puis, au cours de l'Occupation, elle passe du côté de la Résistance avec son mari, Édouard Jalabert, le directeur de l'Apollon. - Les deux sont arrêtés et emprisonnés plusieurs mois.
À la fin des hostilités, elle met à peu près fin à sa carrière et ouvre un café, Le bar des régates, à Marseille.
Marie-Jeanne Dalmazzo, dite La Palma meurt, pas tout à fait oubliée mais pas tout à fait célèbre non plus, à Nimes (Gard), le 7 octobre 1979, âgée de 83 ans.
Merci Wikipédia
La Palma, souvent citée sous le nom de "La Palma de l'Empire" a enregistré de nombreux disques de 1923 à 1939, plus particulièrement entre 1930 et 1935. Dans le lot, beaucoup de chansons créées par d'autres "chanteuses réalistes" dont elle reprend les répertoires sans trop les modifier. C'est ainsi qu'elle "refera" "La glu" (de Richepin et Fragerolle), un succès d'Yvette Guilbert et de Polaire, ou encore "La chaîne" (de Ronn-Daniderff) créée par Damia. Mais son propre répertoire comprendra également des titres écrits pour elle, par Blanche et Henri Poupon "Je te veux cette nuit", le pianiste de Buxeuil "J'ai peur de savoir", etc.
La voix est posée, la diction est celle d'une chanteuse habituée aux grandes salles, les intonations, le timbre, tout y est, sauf que - une opinion toute personnelle - on sent le travail, l'artifice. Il manque à La Palma quelque chose : une certaine imperfection ? une certaine chaleur ? - On pourrait même dire une certaine "humanité". - Dans la plupart de ses interprétations l'émotion semble être confinée à la musique et aux paroles : La Palma ne veut pas ou ne peut pas se donner complètement. Un défaut ? Peut-être. La Palma ferait-elle partie de ces interprètes qui, bourrées de talent, ne réussissent pas tout à fait à passer la rampe ?