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Boris VIAN / LE CODE DE LA ROUTE
986012
8,00 €
TTC
1 CD / CHANSONS HUMORISTIQUES
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Chanté par Boris VIAN
Le code de la route.
Ah ! Si j'avais un franc cinquante.
La java des bombes atomiques.
J'suis snob.
On n'est pas là pour se faire engueuler.
Cinématographe.
Les joyeux bouchers.
Complainte du progrès.
Je bois.
Le petit commerce.
Bourrée de complexes.
Le code de la route.
Ah ! Si j'avais un franc cinquante.
La java des bombes atomiques.
J'suis snob.
On n'est pas là pour se faire engueuler.
Cinématographe.
Les joyeux bouchers.
Complainte du progrès.
Je bois.
Le petit commerce.
Bourrée de complexes.
poète, chanteur, musicien, écrivain, directeur artiistique
Boris Vian
1920-1959. Né à Ville-d'Avray, ingénieur, journaliste, chansonnier dramaturge, romancier, musicien, comédien... nommé équarrisseur de première classe par le Collège de Pataphysique… Il vit une enfance heureuse dans la propriété familiale puis un revers de fortune oblige les Vian à se retirer dans des appartements de plus en plus modestes (cf "Les Bâtisseurs d'empire). Au lycée Condorcet à Paris, Boris Vian joue de la trompette, se passionne pour le jazz (cf. "En avant la zizique", 1958) collabore à la revue Jazz-hot. Il entre à l'Ecole Centrale en 1939 et devient ingénieur. Il fait la connaissance de Michelle Léglise qu'il épouse en 1941 et de Jacques Loustalot (le Major dans Vercoquin) En 1946, il collabore aux "Temps modernes", publie" J'irai cracher sur vos tombes" sous le pseudonyme de Vernon Sullivan qui déclenche un scandale par son érotisme provocateur, "L'Ecume des jours" qui reste son roman le plus lu, le seul à comporter une structure narrative et pathétique, influencé comme "L'automne à Pékin" (1946) par Queneau et Ionesco qu'il a rencontrés au Collège de Pataphysique. Il devient le trompette et l'animateur d'une célèbre boîte de Saint-Germain des Prés : "Le Tabou". "Et on tuera tous les affreux" (1948) s'inspire comme "J'irai cracher sur vos tombes" du roman noir américain. En 1954, Boris Vian se remarie avec Ursula Kubler. Il rédige la plupart des poèmes qui sont dans "L'Arrache-coeur" (1953) et dans "Je voudrais pas crever" (post.1962). Au cours de tournées en province, il chante, notamment "Le Déserteur" qui est interdit ; il écrit des comédies musicales ; joue dans divers films. Il crée deux opéras : "Le Chevalier de neige" musique de Georges Delerue (1957) ; "Fiesta", musique de Darius Milhaud (1959). A la suite d'un œdème pulmonaire, il meurt à trente-neuf ans. Méconnu de son vivant, Boris Vian est depuis les années 60 lu et admiré par la jeunesse et par un public de plus en plus large et international.
Bibliographie (sélective)
L’arrache cœur
L’automne à Pékin
Cantilène en gelée
Chansons
Chroniques de jazz
Chroniques du menteur
En avant la Zizique
Derrière la Zizique
L’écume des jours
L’équarrissage pour tous
Et on tuera tous les affreux
Les fourmies
L’herbe rouge
J’irai cracher sur vos tombes
Je voudrais pas crever
Textes et chansons
Trouble dans les andains
Vert coquin et le plancton