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Pierre MAC ORLAN / ÉCRITS DE GUERRE
987011
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1 CD - 26 TITRES / MARC ORLAN / ÉCRITS DE GUERRE / L'ARTOIS - VERDUN - LA SOMME / DITS & CHANTÉS PAR BERNARD ASCAL
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Écrits de guerre / L’Artois – Verdun – la Somme Le 15 septembre 1916, Pierre Mac Orlan écrit à sa femme Marguerite : « Ma chérie, Je suis blessé. Peu grièvement. Je file sur l’intérieur, je ne sais encore où, je te le ferai savoir. Je viens d’échapper à la plus épouvantable tuerie que j’ai connue. C’était l’enfer. Inimaginable. C’est un miracle que je sois ici. Je suis cité avec croix de guerre. Je t’embrasse.Pierre. »* Après avoir reçu son ordre de mobilisation le 2 août 1914, Pierre Mac Orlan s’était successivement retrouvé sur les fronts de Lorraine en 1914, de l’Artois en 1915, de Verdun puis de la Somme en 1916. C’est sur ce dernier qu’il est blessé le 14 septembre, à Mont-Saint-Quentin, près de Péronne, sa ville natale. Évacué sur Ouistreham pour être soigné, il sera réformé le 8 décembre 1917. Les textes qui composent le présent CD proviennent de Poissons morts** (première édition en 1917), Verdun (1934) et Dans les tranchées (1939) — soit des notes prises sur le vif en 1915 et 1916, tel un journal, mêlées à une relation des mêmes événements qui survient vingt ans plus tard.
Dits et chantés par Bernard ASCAL
01 – Intro 0’ 15’’ 02 - Poissons morts 2’ 03’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 03 - De Cléry à Mont Saint-Eloi 1’ 10’’(Bernard Ascal) 04 - Les balles, les schrapnells 2’ 42’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 05 - La Boue 2’ 54’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 06 – Chanson de la relève montante 3’ 47’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Poésies documentaires complètes) 07 - Le 125, Carency 3’ 59 ‘’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 08 – Spleen Samothrace 1’ 37’’(Bernard Ascal) 09 - Chevaux, chiens et chats 7’ 20’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 10 - Mont Saint-Eloi - Cléry 1’ 15’’(Bernard Ascal) 11 - Les corbeaux et les rats 3’ 15’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 12 - Les gendarmes assassinés 3’ 14’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 13 - Le garde-voies rêve… 2’ 42’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Poésies documentaires complètes) 14 - Les rats et les hommes 5’ 49’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 15 - Les rats et les chiens 3’ 53’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 16 - Légers godillots 1’ 03(Bernard Ascal) 17 – Les pigeons 2’ 19’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 18 - Les popottes 3’ 10’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 19 - L’affaissement général 0’ 52’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 20 – Le vent qui se morfond… 3’ 02’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Mémoires en chansons) 21 - Prescience du soldat 3’ 43’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 22 – Bleu Samothrace 1’ 34’’(Bernard Ascal) 23 - 1933 - Le cabaret au chèvrefeuille (300 – 305) 9’ 20’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 24 – Loin l’horizon 1’ 14(Bernard Ascal) 25 - 1933 – Verdun 2’ 02’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 26 – Bleu horizon 1’ 21’’(Bernard Ascal) L’équipe Bernard ASCAL :Direction artistique ; diction (2 – 4 – 5 – 7 – 9 – 11 – 12 – 14 – 15 – 17 – 18 – 19 – 21 – 23 – 25) ; chant (6 – 13 – 20)Yves MOREL :Direction musicale ; arrangements (6 – 13 – 20) ; trombone (6 – 16 - 22 ) ; accordina (3 – 10 – 13 – 20 - 26)Jean-Baptiste GAUDRAY :Guitare (1 – 6 – 8 – 10 – 13 – 16 – 20 – 22 – 24 - 26)Delphine FRANCK :Violoncelle (3 – 6 – 8 – 13 – 20 - 24) Il y a, chez Mac Orlan, deux guerres qui se superposent : celle entre les hommes, en l’occurrence entre des soldats français et allemands ; et celle des rats et autres nuisibles contre le genre humain et leurs alliés du règne animal notamment les chevaux et les chiens. Dans ses écrits, Mac Orlan ne verse jamais dans la haine patriotique. On est aux antipodes d’un Vincent Scotto qui, parmi tant d’autres, proclame : « Les Boches, c’est comme des rats / Plus on en tue, plus il y en a / Les Boches, vraiment c’est fou ! / Il en sort un peu de partout / Les Boches, ah ! les sales bêtes. » * Cité par Evelyne Baron dans son ouvrage L’Indiscible guerre. Editions Lienart, 2014. ** Poissons morts est réédité, avec des illustrations de David B., aux éditions Linéart, 2018. Poissons morts est aussi le titre de l’une des chansons que chante Julien Clerc en 1973. Elle est écrite par Etienne Roda-Gill près de soixante ans après la parution du livre de Mac Orlan. Comme on peut le constater dans ces quelques vers : « Poissons morts / Allez donc dire aux moissonneuses / Poissons morts / que la graisse de mitrailleuse / N’est pas la brillantine des dieux. », le parolier des années 70 s’est inspiré de l’anecdote rapportée en plage 2 du présent CD. Quelques repères liés au militaire Mac Orlan : En 1905, Pierre Mac Orlan, qui est né en 1882, effectue son service militaire au camp de Mourmelon, à Châlons-sur-Marne. Le 2 août 1914, alors qu’il est en Bretagne avec son épouse, Marguerite, à Moëlan-sur-Mer, Mac Orlan reçoit son ordre de mobilisation. Il est affecté au 269ème régiment d’infanterie dépendant du 2ème corps d’armée de Nancy. Il est sur le front de Lorraine en août 1914, sur celui de l’Artois d’octobre 1914 à février 1916, sur celui de Verdun en mars 1916 puis de la Somme en août 1916. Le 14 septembre 1916, Pierre Mac Orlan est blessé à Mont-Saint-Quentin, près de Péronne, sa ville natale. Il est évacué et soigné à Ouistreham. 8 décembre 1917 : Pierre Mac Orlan est réformé. De 1916 à 1919, Mac Orlan écrit dans la revue La Baïonnette, créée en 1915. En 1918 et 1919, il fournit des reportages au journal L’Intransigeant en tant que correspondant attaché à l’armée française d’occupation en Rhénanie. Les écrits de guerre de Pierre Mac Orlan comportent Les Poissons morts (1917) ; La Fin (1919) ; Devant la Meuse (1934) ; Verdun (1935) ; Dans les tranchées (1939).
Écrits de guerre / L’Artois – Verdun – la Somme Le 15 septembre 1916, Pierre Mac Orlan écrit à sa femme Marguerite : « Ma chérie, Je suis blessé. Peu grièvement. Je file sur l’intérieur, je ne sais encore où, je te le ferai savoir. Je viens d’échapper à la plus épouvantable tuerie que j’ai connue. C’était l’enfer. Inimaginable. C’est un miracle que je sois ici. Je suis cité avec croix de guerre. Je t’embrasse.Pierre. »* Après avoir reçu son ordre de mobilisation le 2 août 1914, Pierre Mac Orlan s’était successivement retrouvé sur les fronts de Lorraine en 1914, de l’Artois en 1915, de Verdun puis de la Somme en 1916. C’est sur ce dernier qu’il est blessé le 14 septembre, à Mont-Saint-Quentin, près de Péronne, sa ville natale. Évacué sur Ouistreham pour être soigné, il sera réformé le 8 décembre 1917. Les textes qui composent le présent CD proviennent de Poissons morts** (première édition en 1917), Verdun (1934) et Dans les tranchées (1939) — soit des notes prises sur le vif en 1915 et 1916, tel un journal, mêlées à une relation des mêmes événements qui survient vingt ans plus tard.
Dits et chantés par Bernard ASCAL
01 – Intro 0’ 15’’ 02 - Poissons morts 2’ 03’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 03 - De Cléry à Mont Saint-Eloi 1’ 10’’(Bernard Ascal) 04 - Les balles, les schrapnells 2’ 42’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 05 - La Boue 2’ 54’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 06 – Chanson de la relève montante 3’ 47’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Poésies documentaires complètes) 07 - Le 125, Carency 3’ 59 ‘’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 08 – Spleen Samothrace 1’ 37’’(Bernard Ascal) 09 - Chevaux, chiens et chats 7’ 20’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 10 - Mont Saint-Eloi - Cléry 1’ 15’’(Bernard Ascal) 11 - Les corbeaux et les rats 3’ 15’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 12 - Les gendarmes assassinés 3’ 14’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 13 - Le garde-voies rêve… 2’ 42’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Poésies documentaires complètes) 14 - Les rats et les hommes 5’ 49’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 15 - Les rats et les chiens 3’ 53’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 16 - Légers godillots 1’ 03(Bernard Ascal) 17 – Les pigeons 2’ 19’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 18 - Les popottes 3’ 10’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 19 - L’affaissement général 0’ 52’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Poissons morts) 20 – Le vent qui se morfond… 3’ 02’’(Pierre Mac Orlan / Bernard Ascal - Extrait de Mémoires en chansons) 21 - Prescience du soldat 3’ 43’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Dans les tranchées) 22 – Bleu Samothrace 1’ 34’’(Bernard Ascal) 23 - 1933 - Le cabaret au chèvrefeuille (300 – 305) 9’ 20’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 24 – Loin l’horizon 1’ 14(Bernard Ascal) 25 - 1933 – Verdun 2’ 02’’(Pierre Mac Orlan – Extrait de Verdun) 26 – Bleu horizon 1’ 21’’(Bernard Ascal) L’équipe Bernard ASCAL :Direction artistique ; diction (2 – 4 – 5 – 7 – 9 – 11 – 12 – 14 – 15 – 17 – 18 – 19 – 21 – 23 – 25) ; chant (6 – 13 – 20)Yves MOREL :Direction musicale ; arrangements (6 – 13 – 20) ; trombone (6 – 16 - 22 ) ; accordina (3 – 10 – 13 – 20 - 26)Jean-Baptiste GAUDRAY :Guitare (1 – 6 – 8 – 10 – 13 – 16 – 20 – 22 – 24 - 26)Delphine FRANCK :Violoncelle (3 – 6 – 8 – 13 – 20 - 24) Il y a, chez Mac Orlan, deux guerres qui se superposent : celle entre les hommes, en l’occurrence entre des soldats français et allemands ; et celle des rats et autres nuisibles contre le genre humain et leurs alliés du règne animal notamment les chevaux et les chiens. Dans ses écrits, Mac Orlan ne verse jamais dans la haine patriotique. On est aux antipodes d’un Vincent Scotto qui, parmi tant d’autres, proclame : « Les Boches, c’est comme des rats / Plus on en tue, plus il y en a / Les Boches, vraiment c’est fou ! / Il en sort un peu de partout / Les Boches, ah ! les sales bêtes. » * Cité par Evelyne Baron dans son ouvrage L’Indiscible guerre. Editions Lienart, 2014. ** Poissons morts est réédité, avec des illustrations de David B., aux éditions Linéart, 2018. Poissons morts est aussi le titre de l’une des chansons que chante Julien Clerc en 1973. Elle est écrite par Etienne Roda-Gill près de soixante ans après la parution du livre de Mac Orlan. Comme on peut le constater dans ces quelques vers : « Poissons morts / Allez donc dire aux moissonneuses / Poissons morts / que la graisse de mitrailleuse / N’est pas la brillantine des dieux. », le parolier des années 70 s’est inspiré de l’anecdote rapportée en plage 2 du présent CD. Quelques repères liés au militaire Mac Orlan : En 1905, Pierre Mac Orlan, qui est né en 1882, effectue son service militaire au camp de Mourmelon, à Châlons-sur-Marne. Le 2 août 1914, alors qu’il est en Bretagne avec son épouse, Marguerite, à Moëlan-sur-Mer, Mac Orlan reçoit son ordre de mobilisation. Il est affecté au 269ème régiment d’infanterie dépendant du 2ème corps d’armée de Nancy. Il est sur le front de Lorraine en août 1914, sur celui de l’Artois d’octobre 1914 à février 1916, sur celui de Verdun en mars 1916 puis de la Somme en août 1916. Le 14 septembre 1916, Pierre Mac Orlan est blessé à Mont-Saint-Quentin, près de Péronne, sa ville natale. Il est évacué et soigné à Ouistreham. 8 décembre 1917 : Pierre Mac Orlan est réformé. De 1916 à 1919, Mac Orlan écrit dans la revue La Baïonnette, créée en 1915. En 1918 et 1919, il fournit des reportages au journal L’Intransigeant en tant que correspondant attaché à l’armée française d’occupation en Rhénanie. Les écrits de guerre de Pierre Mac Orlan comportent Les Poissons morts (1917) ; La Fin (1919) ; Devant la Meuse (1934) ; Verdun (1935) ; Dans les tranchées (1939).
Poète, écrivain, peintre, musicien et chanteur ayant de fortes attaches avec le surréalisme, Bernard Ascal est aussi directeur de collection chez EPM. Il a produit plus de 50 albums pour la collection Poètes et Chansons, mis en musique Césaire (Cahier d’un retour au pays natal) et de nombreux surréalistes et poètes d’origine francophone. Il travaille actuellement sur les poésies de Picasso
Familier des chemins de traverse et les revendiquant, Bernard Ascal a toujours développé une pratique quotidienne de la musique, de l’écriture et de la peinture.
Cette dernière, présentant de fortes connivences avec le surréalisme et le pop- art, fut longtemps son activité sociale dominante.
Auteur de poèmes, de nouvelles et de chansons de sensibilité libertaire dans lesquels l’humour le dispute à la noirceur, il a créé de nombreux spectacles sur les scènes du réseau alternatif parisien.
Compositeur et interprète, Bernard Ascal mène, par des récitals et des enregistrements, tant en France qu’à l’étranger, un travail de mise en musique des poètes d’expression française du XXe siècle et contemporains. Il porte une attention particulière aux auteurs surréalistes — de Benjamin Péret à Joyce Mansour — ainsi qu’à ceux de l’Afrique et des Antilles — de Léon Gontran Damas à Abdellatif Laâbi. Il a fait paraître, en 2008, sous la forme d’un oratorio, sa version du Cahier d’un retour au pays natal d’Aimé Césaire.
Bernard Ascal est aussi le directeur artistique de la collection d’enregistrements sonores "Poètes & Chansons" chez EPM.
Extrait
À mes corps et esprit défendant, je traverse, au sein d’un monde en détresse, de nombreuses crises de bien-être. Pour atténuer ces privilèges, je partage mon temps libre entre des œuvres de charité et d’exténuantes courses montagnardes.
…/…
Après la montée, la descente, après la descente, la montée précédent une nouvelle descente devançant une prochaine montée qui anticipe…
Ah ! les pompes des cours de gymnastique scolaire, il n’y avait que quelques séries de dix à enchaîner !
Ah ! les chapelets des cours de catéchisme, il n’y avait que quelques séries de cent à égrener !
Abrutissement hypnotique engendré par la fatigue et la répétition ad libitum.
Perte irrémédiable du libre-arbitre.
Effondrement de la volonté.
Une-deux, up-down.
Monter-descendre
Sans issue.
Exempté de sac à dos et néanmoins souffle coupé, non par la beauté du paysage, mais par le manque d’oxygène. Je m’entraîne à suffoquer.
Excellent pour le reste de l’année : impôts, feux rouges, amendes, contrôles, vapeurs d’oxyde et vexations diversifiées.
…/…
Dans les pays les plus riches du monde, ceux qui se développent à mesure que les autres sombrent dans un dénuement endémique, la fatigue physique est devenue une denrée génératrice de profits.
La fatigue : nouvelle quête, nouveau créneau de vente, nouveau pèlerinage.
Les sociétés occidentales ne procurent plus à leurs populations les doses indispensables de Fatigue-Travail, aussi leur inoculent-elles des substituts de Fatigue-Loisirs. Divertissements à la chaîne. Pointage aux trois-huit ludiques
Extraits de Un cul de sac dans le ciel, Éditions Rhubarbe, 2009.
Bibliographie
Poésie
Pas même le bruit initial, Éditions Gros Textes, 2014.
Le Cadre et le clou, notes d’atelier, Éditions Rhubarbe, 2011.
Un cul de sac dans le ciel (notes d’un marcheur), Éditions Rhubarbe, 2008.
Le Gréement des os, préface de Bernard Noël, Éditions Le Temps des Cerises / Éditions Écrits des Forges, 2005.
Tout l’espoir n’est pas de trop, anthologie réalisée par Bernard Ascal, consacrée à douze poètes de l’actuelle francophonie, Éditions Le Temps des Cerises / Éditions Écrits des Forges, 2002.
La Cuvette, nouvelles, Éditions Chez Léopold, 2000.
Signe-Singe, poèmes accompagnés de cinq photographies de Bernadette Tintaud, Éditions Cirrus, 2000.
Imbu d’embus, notes sur la peinture, Éditions L’Hypoténuse, 1996.
Couacs en sourdine, chansons, Éditions Bleu Pantoufle, 1991.
Discographie
Afrique(s) de Tananarive à Port-au-Prince, EPM, 2017.
Pablo Picasso, Poèmes et propos, EPM, 2013.
Philippe Soupault, EPM, 2011.
Aimé Césaire « Cahier d’un retour au pays natal », Oratorio, EPM / Universal, 2008.
Le Corbusier « Le poème de l’angle droit », EPM / Socadisc, 2006.
Senghor-Césaire-Damas, EPM / Socadisc, 2006.
Douze poètes francophones : D. Desautels, E.J. Maunick, W. Lambersy, G. Haldas, A. Césaire, T.Boni, P.Chamberland, F. Ascal, B. Noël, V. Tadjo, A. Laâbi, T. Djaout., EPM / Socadisc, 2005.
Fleuve-Atlantique : J-M. Adiaffi, T.Boni, A.Césaire, L-G. Damas, R.Depestre, O.M. Diagana, D.Diop, A.Laâbi, L.S. Senghor, V.Tadjo, B.Zadi Zaourou., Khamsa / EPM / Socadisc, 2003.
L’Étreinte du monde : poèmes d’Abdellatif Laâbi, Khamsa / EPM / Socadisc, 2001.
Six poètes surréalistes : J.Arp, M.Leiris, J.Mansour, B.Péret, R.Queneau, P.Soupault , EPM / Socadisc, 1997.