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L'AMOUR AU FÉMININ / ANTHOLOGIE
EPO60865
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ANTHOLOGIE POÉTIQUE
Pierre Louÿs, Baudelaire, Maurice Rostand, Paul Verlaine...
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Anthologie poétique de l’amour féminin
Renée Vivien : Le toucher, Union, Je pleure sur toi, Sonnet à l’androgyne, Ode à une femme aimée, Sonnet à une enfant Paul Verlaine : Sur le balcon, Pensionnaires, Per Amica Silentia, Printemps, Eté ( Les Amies ) Maurice Rostand : Elles… Pierre Louÿs Intimité (Chanson de Bilitis), Les danses au clair de lune, L’amie complaisante, Jeux, Pénombre, Baudelaire Lesbos L’invitation au voyage, *** Femmes bénies
Par : Claude Darvy, Valérie Quincy et Suzy Solidor
Sapho, Psappha, était auprès du berceau de la poésie, fée bienfaisante et grave. Les poètes s’en souviennent et lui rendent hommage. Cette passion glacée qui dévore les entrailles – la passion de Sapho pour Atthis -, ce feu sensuel qui embrase le cœur de la femme- le feu de Bilitis pour Mnasisidika- puis s’éteint en insupportables braises, quelle inspiration pour les chercheurs d’absolu !Sur ce disque, qui ne prétend pas à être l’anthologie exhaustive de la poésie saphique, mais qui se veut florilège et bouquet d’hommage à la brûlante Lesbienne, homme et femme se rencontrent : Verlaine – avec ses pièces les plus tendres et les plus enflammées.Baudelaire – qui offre ses poèmes les plus fervents et les plus sereins. Pierre Louÿs – magicien recréateur d’une morale plus pure qui le hantait, et parfait architecte es poésie.Renée Vivien, enfin, que Léon Daudet si classique en lettres comme en amour – ne craignait pas de nommer : « Poétesse admirable, orchidée aux couleurs éclatantes et éphémères, qui avait retrouvé la plainte de Sapho ».Renée Vivien, précise, délicate et ardente, morte étouffée par le parfum des fleurs en 1909. Et Suzy Solidor a bien voulu ouvrir son album intime pour en tirer deux poèmes manuscrits, inédits : l’un de Maurice Rostand, l’autre d’un aède dont nous n’avons plus le droit d’écrire le nom.Enfin, voici Suzy, Valérie et Claude, tellement différentes l’une de l’autre, et qui nous apportent le meilleur de leur talent.
Paul Chambrillon
Renée Vivien : Le toucher, Union, Je pleure sur toi, Sonnet à l’androgyne, Ode à une femme aimée, Sonnet à une enfant Paul Verlaine : Sur le balcon, Pensionnaires, Per Amica Silentia, Printemps, Eté ( Les Amies ) Maurice Rostand : Elles… Pierre Louÿs Intimité (Chanson de Bilitis), Les danses au clair de lune, L’amie complaisante, Jeux, Pénombre, Baudelaire Lesbos L’invitation au voyage, *** Femmes bénies
Par : Claude Darvy, Valérie Quincy et Suzy Solidor
Sapho, Psappha, était auprès du berceau de la poésie, fée bienfaisante et grave. Les poètes s’en souviennent et lui rendent hommage. Cette passion glacée qui dévore les entrailles – la passion de Sapho pour Atthis -, ce feu sensuel qui embrase le cœur de la femme- le feu de Bilitis pour Mnasisidika- puis s’éteint en insupportables braises, quelle inspiration pour les chercheurs d’absolu !Sur ce disque, qui ne prétend pas à être l’anthologie exhaustive de la poésie saphique, mais qui se veut florilège et bouquet d’hommage à la brûlante Lesbienne, homme et femme se rencontrent : Verlaine – avec ses pièces les plus tendres et les plus enflammées.Baudelaire – qui offre ses poèmes les plus fervents et les plus sereins. Pierre Louÿs – magicien recréateur d’une morale plus pure qui le hantait, et parfait architecte es poésie.Renée Vivien, enfin, que Léon Daudet si classique en lettres comme en amour – ne craignait pas de nommer : « Poétesse admirable, orchidée aux couleurs éclatantes et éphémères, qui avait retrouvé la plainte de Sapho ».Renée Vivien, précise, délicate et ardente, morte étouffée par le parfum des fleurs en 1909. Et Suzy Solidor a bien voulu ouvrir son album intime pour en tirer deux poèmes manuscrits, inédits : l’un de Maurice Rostand, l’autre d’un aède dont nous n’avons plus le droit d’écrire le nom.Enfin, voici Suzy, Valérie et Claude, tellement différentes l’une de l’autre, et qui nous apportent le meilleur de leur talent.
Paul Chambrillon