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LE PAYS DU SOURIRE / LEHAR
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1 CD / LE PAYS DU SOURIRE (EXTRAITS) AVEC TONY PONCET, RENÉE DORIA, HENRY GUY / ORCHESTRE JÉSUS ETCHEVERRY
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LE PAYS DU SOURIRE (extraits)Franz LeharOpérette romantique en trois actesAdaptation française André Mauprey et Jean MariettiAvec Tony Ponce, Renée Doria… Acte I1 Introduction et air de Lisa 4’58’’2 On se plait depuis toujours… (Lisa-Gustave) 1’32’’3 Toujours sourire… (air d’entrée de Sou-Chong) 4’33’’4 Prendre le thé à deux… (Lisa-Sou-Chong) 4’15’’5 Dans l’ombre blanche des pommiers… (Sou-Chong) 3’34’’6 Duo (Lisa-Sou-Chong) Final 7’ 34’’ Acte II7 Qui, dans nos cœurs, a fait fleurir… (Lisa-Sou-Chong) 3’39’’8 Au salon d’une pagode… (Mi) 3’38’’9 Mon amour et ton amour… (Mi-Gustave) 2’12’’10 Je t’ai donné mon cœur… (Sou-Chong) 3’41’’ Acte III11 Je veux revoir mon beau pays… (Lisa) 1’54’’ 12 Brune poupée… (Mi-Gustave) 2’02’’13 Final
En supplément de programme : d’autres interprètes
José Janson14 Je t'ai donné mon cœur 3’08’’
Rudy Hirigoyen15 Dans l'ombre blanche des pommiers… 3’18’’16 Je t'ai donné mon cœur 3’18’’
André Dassary17 Toujours sourire… 3’54’’ 18 Dans l'ombre des pommiers en fleurs… 3’32’’ 19 Je t'ai donné mon cœur… 3’16’’
Les interprètes Sou-Chong Tony Poncet (ténor)Lisa Renée Doria (soprano)Gustave Henri Guy (baryton)Mi Lucie Dolène Orchestre et chœurs René Alix direction Jésus EtcheverryRéalisation Guy DumazertP Philips 1957
Synopsis Acte IChez le ComteLe rideau se lève sur une soirée chez le Comte Lichtenfels dans sa villa de Holdenbourg. Lisa, la fille du comte, resplendissante, est accueillie chaleureusement par les invités et particulièrement par Gustave qui est très épris d’elle. Mais Lisa est attirée par le charme exotique du prince Sou-Chong. Après un Thé pris à deux, Sou-Chong expose comment on conçoit le flirt dans son pays et qu’il va être rappelé en Chine : Lisa veut-elle le suivre… Oui, elle sera sa femme. Acte IIPékin dans le palais du princeOn retrouve les deux amoureux mariés à Pékin, ils sont heureux mais on reproche au prince son union avec une européenne et sa monogamie, peu appréciée dans ce pays… Il lui faut épouser d’autres princesses ! Après une scène violente avec son oncle, il cède, mais pour lui ces unions ne seront que le sacrifice à une coutume qu’il entend bien ne pas respecter à la lettre… Lisa ne veut pas accepter, même pour la forme, un tel partage et elle projette de quitter la Chine Je veux revoir mon beau pays… s’écrie-t-elle. Sou-Chong pour la garder l’enferme dans l’appartement réservé aux femmes !Gustave, de son coté, pour revoir Lisa, s’est fait envoyer en mission diplomatique à Pékin où il rencontre Mi, la très attirante sœur de Sou-Chong et ils sympathisent ! Acte IIIPékin dans le palais du princeMais Gustave a retrouvé Lisa et prépare son évasion. Mi, qui a compris l’incompatibilité de sa situation avec Gustave va l’aider de toutes ses forces pour permettre leur départ vers l’Europe… Sou-Chong et sa sœur, eux, restent en Chine… !
Franz LEHAR
Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis d’apprendre d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague, étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale.
Il commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite à Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La Veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter…
Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès…
ŒUVRES LYRIQUESExtrait : titres français Le Réparateur de chaudrons 1902
Le Mari idéal 1904Mariage pour rire 1904 La Veuve joyeuse 1905Taliana 1906Le Comte de Luxembourg 1909L’Amour tzigane 1909Le pays du sourire 1923La Tsarévich 1927
En supplément de programme : d’autres interprètes
José Janson14 Je t'ai donné mon cœur 3’08’’
Rudy Hirigoyen15 Dans l'ombre blanche des pommiers… 3’18’’16 Je t'ai donné mon cœur 3’18’’
André Dassary17 Toujours sourire… 3’54’’ 18 Dans l'ombre des pommiers en fleurs… 3’32’’ 19 Je t'ai donné mon cœur… 3’16’’
Les interprètes Sou-Chong Tony Poncet (ténor)Lisa Renée Doria (soprano)Gustave Henri Guy (baryton)Mi Lucie Dolène Orchestre et chœurs René Alix direction Jésus EtcheverryRéalisation Guy DumazertP Philips 1957
Synopsis Acte IChez le ComteLe rideau se lève sur une soirée chez le Comte Lichtenfels dans sa villa de Holdenbourg. Lisa, la fille du comte, resplendissante, est accueillie chaleureusement par les invités et particulièrement par Gustave qui est très épris d’elle. Mais Lisa est attirée par le charme exotique du prince Sou-Chong. Après un Thé pris à deux, Sou-Chong expose comment on conçoit le flirt dans son pays et qu’il va être rappelé en Chine : Lisa veut-elle le suivre… Oui, elle sera sa femme. Acte IIPékin dans le palais du princeOn retrouve les deux amoureux mariés à Pékin, ils sont heureux mais on reproche au prince son union avec une européenne et sa monogamie, peu appréciée dans ce pays… Il lui faut épouser d’autres princesses ! Après une scène violente avec son oncle, il cède, mais pour lui ces unions ne seront que le sacrifice à une coutume qu’il entend bien ne pas respecter à la lettre… Lisa ne veut pas accepter, même pour la forme, un tel partage et elle projette de quitter la Chine Je veux revoir mon beau pays… s’écrie-t-elle. Sou-Chong pour la garder l’enferme dans l’appartement réservé aux femmes !Gustave, de son coté, pour revoir Lisa, s’est fait envoyer en mission diplomatique à Pékin où il rencontre Mi, la très attirante sœur de Sou-Chong et ils sympathisent ! Acte IIIPékin dans le palais du princeMais Gustave a retrouvé Lisa et prépare son évasion. Mi, qui a compris l’incompatibilité de sa situation avec Gustave va l’aider de toutes ses forces pour permettre leur départ vers l’Europe… Sou-Chong et sa sœur, eux, restent en Chine… !
Franz LEHAR
Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis d’apprendre d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague, étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale.
Il commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite à Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La Veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter…
Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès…
ŒUVRES LYRIQUESExtrait : titres français Le Réparateur de chaudrons 1902
Le Mari idéal 1904Mariage pour rire 1904 La Veuve joyeuse 1905Taliana 1906Le Comte de Luxembourg 1909L’Amour tzigane 1909Le pays du sourire 1923La Tsarévich 1927
Franz LEHAR
Franz Lehár est né le 30 avril 1870 à Komarno (komarom) en Autriche-Hongrie, son père est le chef de la fanfare de l’armée. Sa langue maternelle est le hongrois mais Franz devient bilingue très tôt et ses compétences linguistiques lui ont également permis de bien comprendre rapidement d’autres langues. Franz Lehár étudie d’abord le piano. Son talent se révèle très tôt. À 11 ans, il compose sa première chanson. En 1880, son père est transféré à Budapest et Lehár entre au conservatoire de Prague et étudie le violon, la composition musicale (avec Dvorak) et la théorie musicale.
Lehár commence sa carrière musicale en tant que musicien d’orchestre, à Vienne, il joue dans l’orchestre de son père et, montant petit à petit les échelons, il en devient son successeur. Il est ensuite Pula, Trieste et Vienne. Dès ses deux premières compositions, Wiener Frauen et Der Rastelbinder, il est considéré le futur maître de l’opérette. Avec le succès mondial de La veuve Joyeuse sa notoriété ne fait qu’augmenter,
Au fil des ans, Lehár a acquis une fortune prodigieuse. Il achète une vaste demeure à Vienne et une villa à Bad Ischl, une importante station thermale. Les relations de Franz Lehár avec le régime nazi sont tendues. Il a toujours utilisé des librettistes juifs pour ses opéras et a fait partie du milieu culturel viennois, qui comprenait de nombreux juifs. En outre, bien que Lehár soit catholique, son épouse Sophie est d’origine juive mais convertie au catholicisme. En 1943, Lehár est cependant autorisé à se rendre avec sa femme en Suisse. Il souffre de problèmes biliaires, rénaux, glandulaires et oculaires et de pneumonie. Il passera les derniers mois de la guerre à Bad Ischl où il restera après la mort de sa femme, jusqu’en 1948, année de son décès…
ŒUVRES LYRIQUES
Extrait : titres français
Le Réparateur de chaudrons 1902
Le Mari idéal 1904
Mariage pour rire 1904
La Veuve joyeuse 1905
Taliana 1906
Le Comte de Luxembourg 1909
L’Amour tzigane 1909
Le pays du sourire 1923
La Tsarévich 1927