Votre panier
Il n'y a plus d'articles dans votre panier
THE HOLLIES / EVOLUTION
8344986
12,00 €
TTC
1 CD / EVOLUTION ALBUM DE 1967 / MAGIC RECORDS
VOUS RECEVREZ UN BON D'ACHAT 10% À PARTIR DE 40 € DE COMMANDE
EvolutionAlbum sorti en 1967
Les musiciens
Bernie Calvert (vo-b), Allan Clarke (vo-g), Bobby Elliot (dm), Tony Hicks (g-dul-bjo), Graham Nash (vo,-g)
1 Then the heartaches begin2 Stop right there3 Water on the brain4 Lullaby of tim5 Have you ever loved somebody6 You need love7 Rain on the window8 Heading for a fall9 Ye olde toffee shoppe10 When your lights turned on11 Leave me12 The games we play13 0n a carousel *14 All the world is love *15 Signs that will never change *16 Carrie Anne *
Les musiciens
Bernie Calvert (vo-b), Allan Clarke (vo-g), Bobby Elliot (dm), Tony Hicks (g-dul-bjo), Graham Nash (vo,-g)
1 Then the heartaches begin2 Stop right there3 Water on the brain4 Lullaby of tim5 Have you ever loved somebody6 You need love7 Rain on the window8 Heading for a fall9 Ye olde toffee shoppe10 When your lights turned on11 Leave me12 The games we play13 0n a carousel *14 All the world is love *15 Signs that will never change *16 Carrie Anne *
- bonus tracks
The Hollies est un groupe britannique de rock, formé en 1962 et toujours en activité. Il connaît un grand succès dans les années 1960 avec des singles comme I'm Alive, Bus Stop, Look Through Any Window ou Stop Stop Stop, et constitue le troisième plus gros vendeur de disques britannique pour cette décennie, derrière les Rolling Stones et les Beatles.
Graham Nash, membre fondateur, devient par la suite l’un des chanteurs du groupe américain Crosby, Stills, Nash and Young.
Historique
À Salford dans le Lancashire, Graham Nash et Allan Clarke, amis d'enfance, jouent dans les pubs à la manière des Everly Brothers. Un manager de Manchester, Ron Richards, remarque leur talent et les engage. Rapidement, ce manager leur conseille de devenir un « band » comme la plupart des groupes qui se montent à l'époque. En 1962, plusieurs groupes de Manchester vont fournir la partie rythmique aux futurs Hollies : Eric Haydock à la basse et Bobby Elliott à la batterie, puis Tony Hicks à la guitare soliste. Début 1963, le nom de Hollies est définitivement adopté. La même année, le groupe signe avec Parlophone, le label des Beatles.
Dès le lancement de leur carrière professionnelle, les Hollies enchaînent succès sur succès au Royaume-Uni : Searchin' (no 12) et Stay (no 8) en 1963, Just One Look (no 2) et Here I Go Again (no 4) en 1964. À la fin de l’année, leur album Stay with the Hollies est numéro 2 des charts britanniques. Le groupe développe un son particulier : une guitare au son clair et limpide, des harmonies vocales haut perchées et une partie rythmique très rapide. L’album suivant, In the Hollies Style confirme leur production léchée. Bien qu’une nouvelle fois, les singles de l’album atteignent des sommets, l’album n’entre pas dans les charts.
Au sommet des Charts : Le 4e grand groupe anglais ?
En 1965, le groupe se remet en question : il doit se démarquer pour continuer à avoir du succès. Le groupe arrête progressivement les reprises et enregistre des compositions originales : Yes I Will, I'm Alive (numéro 1 au Royaume-Uni), I Can't Let Go, Bus Stop, Stop Stop Stop… Toutes se classent dans le haut des charts anglais et américains où le groupe connaît un franc succès. Les compositions des Hollies sont pour la plupart de Nash, Clarke et Hicks, créditées sur les premiers albums à un certain « L. Ransford » pour des questions de place sur les disques Parlophone.
Entre 1965 et 1966, les albums Hollies, Would You Believe? et For Certain Because... permettent au groupe de se maintenir dans les sommets des hits avec une qualité de composition, d’interprétation et de production croissante. Ils enchaînent alors les tournées mondiales (l’Europe du Nord leur voue un véritable culte) et les apparitions télévisées aux États-Unis où le groupe, cultivant son image de gentlemen (voir la pochette de In the Hollies Style), est très apprécié. Le groupe prend alors le train en marche de la British Invasion et doit céder ses master tapes à Epic Records qui commercialise leurs albums sur le sol américain sous d’autres pochettes et avec un contenu différent. Ainsi, l’album Stop, Stop, Stop ne sort qu'en Amérique du Nord et reste très longtemps dans le classement Billboard.
Au terme de l'année 1966, les Hollies ne sont plus les mêmes : un nouveau bassiste (Bernie Calvert a remplacé Haydock), des compositions personnelles et très étudiées leur permettent de rester en haut des charts. De même, leur image évolue pour être celle d'un groupe sérieux et reconnu. En effet, des groupes comme les Swinging Blue Jeans, Herman's Hermits ou The Searchers, qui se sont cantonnés aux reprises de standards américains, tombent progressivement dans l’oubli après 1966 : le Mersey Sound, ou comme en France les yéyé, passe de mode. Les Hollies restent un des seuls groupes à ne pas se laisser décrocher du peloton de tête constitué par les Beatles, Rolling Stones et Kinks.
1967 est psychédélique, et encore une fois les Hollies s’adaptent : l’album Evolution se classe en 13e position des charts. Chaque chanson est très « produite » et sonne très « british ». Loin des canons du Flower Power tout en explorant de nouvelles sonorités, l'album rassure une certaine Angleterre qui y voit de sages hippies. Néanmoins, son successeur, Butterfly, sorti la même année, n'entre pas dans le hit-parade, et le single King Midas in Reverse n'atteint qu'une petite 18e position.
Graham Nash se sent enfermé dans un groupe qui ne correspond plus à ses aspirations artistiques ; le projet d'enregistrer un album entier de reprises de Bob Dylan ne l'enchante guère. Il quitte les Hollies en décembre 1968 pour fonder Crosby, Stills & Nash avec David Crosby et Stephen Stills. Le groupe continue sans lui, publiant Hollies Sing Dylan puis Hollies Sing Hollies. Ce dernier, porté par le succès du single He Ain't Heavy, He's My Brother aux États-Unis (no 7), s'y classe 32e.
Durant les années 1970, le groupe continue de sortir des albums en phase avec son temps. Il connaît quelques succès ponctuels avec des singles comme Long Cool Woman in a Black Dress (no 2 aux États-Unis en 1972), The Air That I Breathe (no 2 au Royaume-Uni en 1974), mais rien qui ne rivalise avec la gloire qu'il connaissait dans les années 1960.
Graham Nash rejoint brièvement le groupe en 1983 pour l'album What Goes Around... et une tournée américaine. Les deux n'ont pas le succès escompté et cette réunion n'a pas de suites.
Allan Clarke prend sa retraite en 1999. Il est remplacé par l'ex-The Move Carl Wayne, puis par Peter Howarth après la mort de Wayne en 2004. Le dernier album du groupe, auto-produit, date de 2009. Ils sont entrés au Rock and Roll Hall of Fame en 2010.
Discographie
Albums studio
1964 : Stay with the Hollies
1964 : In the Hollies Style
1965 : Hollies
1966 : Would You Believe?
1966 : For Certain Because...
1967 : Evolution
1967 : Butterfly
1969 : Hollies Sing Dylan
1969 : Hollies Sing Hollies
1970 : Confessions of the Mind
1971 : Distant Light
1972 : Romany
1974 : Hollies
1975 : Another Night
1976 : Write On
1976 : Russian Roulette
1978 : A Crazy Steal
1979 : Five Three One - Double Seven O Four
1980 : Buddy Holly
1983 : What Goes Around...
2006 : Staying Power
2009 : Then, Now, Always
Albums en concert
1976 : Hollies Live
1977 : Hollies Live Hits
1997 : Archive Alive! (enregistré en 1983)
Vidéographie
2011 : Look Through Any Window 1963-1975
Wikipédia