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PAUL ÉLUARD

PAUL ÉLUARD

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2CD/ ELUARD / D'ESPOIR ET DE TENDRESSE

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LES TITRES
 
CD 1

1 Je te l’ai dit pour les nuages 1’09’’

Francesca Solleville
2 Au premier mot limpide 1'20’’
André Tavernier
3 Elle ne sait pas tendre des pièges 2’59’’
Paul Braffort et Annelies Brafford
4 Dormir 2’19’’                       

Catherine Sauvage
5 Elle ne vit que par sa forme  1’21’’
André Tavernier
Marine 2’47’’
Gérard Pitiot
7 Le coin du cœur 1’30’’
Francesca Solleville
8 Couvre feu 1’00’’           
Francesca Solleville
9 Bonne justice 1’24’’           
Francesca Solleville
10 Le Front aux vitres 1’10’’           
Francesca Solleville
11 Tant de rêves en l’air 3’03’’                       
François Rascal
12 Bêtes et méchants 2’26’’                       
Isabelle Bonnadier
13 En souvenir d’un fauve 2’33’’
François Rascal
14 À peine une part de souffle 3’08’’                        
François Rascal
15 Je fis un feu  1’44’’                                   
Julos Beaucarne
16 Mes sœurs prennent dans leurs toiles 1’32’’
André Tavernier
17 Tu glisse dans le lit... 1’51’’
André Tavernier
18 La nécessité 3’39’’           
François Rascal

19 Je suis devant ce paysage 2’22’’
André Tavernier
20 Dans les parages de son lit 1’19’’
André Tavernier
21 Belle et ressemblante   1’50’’           
Jacques Douai
22 Par douze douceurs 2’25’’
André Tavernier
23 Plus c’était un baiser 2’10’’
Paul Braffort et Annelies Brafford
24 Notre vie tu l’as faite 2’01’’

André Tavernier
25 Dominique aujourd'hui présente 3'03" 
dit par Paul Éluard
26 La mort, l'amour, la vie 3'48" 
dit par Paul Éluard
27 Liberté 2'50" 
dit par Paul Éluard

Musiques :
1-7-8-9-10 : Jean-François Gaël
2-5-16-17-19-20-22-24 : André Tavernier
3-23 : Paul Braffort
4 : Philippe-Gérard
6 : Gérard Pitiot
11-13-14-18 : François Rascal
12 : Henri Sauguet
15 : Julos Beaucarne
21 : Francis Poulenc

CD2

1 L’amoureuse 0’42’’

dit par Gérard Philipe
2 Nuits partagées 2’01’’
dit par Gérard Philipe
3 Dimanche après-midi 1’30’’
dit par Gérard Philipe
4 Rayon des yeux... 1’07’’
Pierre Bernac
5 Le matin les branches attisent... 0’36’’
Pierre Bernac
6 Tout disparut... 1’25’’
Pierre Bernac
7 Dans les ténèbre du jardin 0’34’’

Pierre Bernac
8 Unis la fraîcheur et le feu... 1’12’’
Pierre Bernac
9 Homme au sourire tendre 1’35’’
Pierre Bernac
10 La grande rivière qui va... 0’43’’
Pierre Bernac
11 Liberté                                    2’57’’
dit par Gérard Philipe
12 Tu vois le feu du soir        4’00’’
Pierre Bernac
13 Je ne suis pas seul            0’41’’
dit par Gérard Philipe
14 Poésie ininterrompue             1’20’’
dit par Gérard Philipe
15 Bonne journée            2’38’’
Pierre Bernac
16 Une ruine coquille vide  2’05’’
Pierre Bernac
17 Le Front comme un drapeau perdu 1’06’’
Pierre Bernac
18 Une roulotte couverte en tuiles      0’47’’
Pierre Bernac
19 À toutes brides    0’34’’
Pierre Bernac
20 Une herbe pauvre 1’27’’
Pierre Bernac
21 Je n’ai envie que de t’aimer 0’45’’
Pierre Bernac
22 Figure de force brûlante et farouche 1’09’’
Pierre Bernac
23 Nous avons fait la nuit 3’13’’
Pierre Bernac
24 Notre vie                                    1’27’’
dit par Gérard Philipe
25 Printemps                                    0’50’’
dit par Gérard Philipe
26 La poésie doit avoir pour but la vérité pratique            1’38’’
dit par Gérard Philipe
27 Peut-il se reposer... ?      1’38’’
Pierre Bernac
28 Il la prend dans ses bras        0’36’’

Pierre Bernac
29 Plume d’eau claire... 0’31’’
Pierre Bernac
30 Rôdeuse au front de verre... 1’21’’
Pierre Bernac
31 Amoureuse      1’12’’
Pierre Bernac
32 Aujourd'hui       3'33" 
dit par Paul Éluard
33 Courage         2'42" 
dit par Paul Éluard
Musiques :
4 à 10, 12; 15 à 23, 27 à 31 : Francis Poulenc
PAUL ELUARD Pilier du mouvement surréaliste, en compagnie d’André Breton, Louis Aragon et Philippe Souplault, Paul Eluard est né à Saint-Denis, près de Paris, le 14 décembre 1895, sous le nom de Paul-Eugène Grindel. Et c’est à l’occasion de la publication de son premier recueil (Le devoir et l’inquiétude), en 1917 - l’année de son mariage avec une jeune étudiante russe, Hélène Diakonova, dite Gala - qu’il prend ce pseudonyme d’Eluard. L’univers poétique de l’auteur de Capitale de la douleur est fort complexe, dans la mesure où il se fragmente en plusieurs bloc d’apparence incompatibles mais qui, réunis aussi mystérieusement que les morceaux d’un casse-tête chinois, finissent par donner cohérence à ce que l’auteur appelait “ l’objectivité poétique ”. Incompatibles, en effet - d’apparence tout au moins - la discipline du poète surréaliste, si attentif à la dictée de l’inconscient, et cette métrique souvent si traditionnelle, visant à établir la poésie comme moyen de communication direct, y compris avec des lecteurs peu au fait des subtilités stylistiques de la versification moderne. Incompatibles encore, ce lyrisme qui s’exprime dans les différents cycles d’amour consacrés aux trois femmes successives du poète (Gala, qui le quittera pour Salvador Dali, Nusch, la jolie trapéziste égérie des surréalistes, et Dominique, l’ultime, rencontrée trois ans seulement avant de mourir), et cette poésie militante, soudain mise au service d’une cause et devenue un instrument de propagande, comme une bonne partie de l’œuvre d’Aragon ou de Neruda. Incompatibles, ces tendances ne le sont, nous l’avons dit, qu’en apparence ; car, chez Eluard, elles ne furent jamais signes de rupture de ton ou de changement de cap. Au contraire, elles surent toujours cohabiter avec simplicité et élégance, pour enrichir un univers s’articulant fondamentalement autour de l’idée, du désir et du besoin de liberté.Un goût pour la liberté qui lui fera, parfois, aller bien au-delà des mots ; comme lorsqu’il s’engagera physiquement dans la Résistance et adhérera au Parti communiste clandestin, en 1942. Engagement qu’il maintiendra après la guerre, continuant à écrire des poèmes engagés, qui le brouilleront avec certains de ses anciens amis du groupe surréaliste, mais qui lui vaudront de devenir, avec Louis Aragon, l’un des poètes les plus populaires de France ; au point d’être peut-être celui qui aura exercé la plus profonde influence sur les nouvelles générations de jeunes poètes. Victime d’une crise cardiaque, Paul Eluard mourra le 18 novembre 1952, à Charenton. Marc Robine BIBLIOGRAPHIE (sélective) Editions Gallimard Une leçon de morale Capitale de la douleur L’amour et la poésie Le livre ouvert Poèmes politiques Poésie ininterrompue La vie immédiate Une leçon de morale Œuvres complètes Editions Seghers Poésie involontaire et poésie intentionnelle Derniers poèmes d’amour Le dur désir de durer Le poète et son ombre Corps mémorable Une longue réflexion amoureuse Editions Le Temps de cerises Poèmes d’amour et de liberté Editions de Minuit Au rendez-vous allemand Editions L. Scheler-B. Clavreuil Poèmes de jeunesse Editions du Club de l’honnête homme Œuvres poétiques complètes (6 volumes)

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