JOURNAL À QUATRE MAINS / Benoîte GOULT

Référence D177

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1 DVD / JOURNAL À QUATRE MAINS / PIÈCE DE FLORA ET BENOÎTE GROULT / MISE EN SCÈNE DE PANCHIKA VELEZ / COPAT

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Description

1 DVD VIDÉO TOUTES ZONES

JOURNAL A QUATRE MAINS TEXTE

Pièce de Flora et Benoîte Groult

Mise en scène Panchika Velez

Assistant à la mise en scène Aurélien Chaussade

Production : Théâtre de Poche, Arguia Théâtre, Scène Nationale de Bayonne et du Sud aquitain avec la participation du Grand hôtel Mercure Splendid de Dax
Jouée au Théâtre de Poche Montparnasse à partir de janvier 2009 et filmée en juin 2009

Avec Aude Briant et Lisa Schuster

Scénographie Claude Plet
Lumière Pierre Jauze
Costumes Marie-Christine Franc
Son Michel Winogradoff
Réalisation Philippe Miquel

Technologie 16/9 numérique, son 5.1 stéréo

Durée : 1h33

Interviews de Benoîte Groult (18 min), Lisa Schuster (12 min), Aude Briant (10 min), Panchika Velez (12 min) par Philippe Jousserand

Résumé : Mai 40. Au 44 de la rue Vaneau, deux sœurs, Benoîte la brune et Flora la blonde, tiennent leur journal, deux adolescentes qui deviennent des femmes en traversant la Drôle de Guerre, depuis ses heures sombres jusqu’à la lumière de la Libération. Avec humour et sensibilité, elles racontent…

La Presse :

« Lisa Schuster, adaptatrice du texte, est Flora la rêveuse, Aude Briant est Benoîte, l’intellectuelle. Elles ressuscitent formidablement l’esprit de l’époque, l’envie de liberté, la soif de vivre et la complicité des deux sœurs. Leur interprétation alerte et sensible dégage un charme vif, une indéniable authenticité. » Le Journal du dimanche

« Du fameux journal partagé des célèbres sœurs Groult, Lisa Schuster, qui joue Flora, a tiré une version théâtrale, fraîche, subtile, souriante, jeune, qui tient sacrément la scène. Aude Briant est merveilleuse de naturel et d’autorité dans le personnage plus complexe de Benoîte. Les deux font la paire. Un délice. » Marianne

« C’est vivant, bien joué, dans une mise en scène fine et maîtrisée, qui fait entendre dans la légèreté les prémices de la mutation en profondeur d’une génération de femmes. » Télérama