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V2 SUR MES SOUVENIRS...
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À LA RECHERCHE DE DANIEL DARC / TAXI GIRL
UN LIVRE DE PIERRE MIKAÏLOFF
UN LIVRE DE PIERRE MIKAÏLOFF
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Un llivre de la collection Le Castor Astral Musique / 200 pagesUn livre de Pierre Mikaïloff
Le groupe Taxi Girl (Daniel Darc, Mirwais…) a marqué le début des années 1980 avec le tube « Cherchez le garçon ». Après un dernier hit en 1986, « Aussi belle qu’une balle », Daniel et Mirwais se séparent et entament une longue traversée du désert. Mirwais effectue un retour spectaculaire en 2000 en produisant Madonna. Quant à Daniel, au bout d’une longue errance qui le mène un temps en prison, il rencontre la religion, mais aussi Frédéric Lo qui orchestre son retour inespéré avec Crèvecœur, en 2004, un album qui lui vaudra une « Victoire de la musique ».En août 2007, Pierre Mikaïloff interviewe Daniel Darc. Deux mois plus tard, Daniel lui demande de l’aider à écrire son « I Need More », en référence à l’autobiographie d’Iggy Pop, l’un de ses héros. Les deux hommes entament alors une série d’entretiens où tous les aspects de la vie tumultueuse du chanteur sont abordés, mais qui resteront inédits.Lors de la parution du livre Cherchez le garçon, l’un des personnages clés de la saga Taxi Girl, leur controversé manager Alexis Quinlin, purge une longue peine de prison aux États-Unis. Pierre Mikaïloff lui adresse un exemplaire du livre et, lorsqu’il bénéficie d’une libération anticipée en 2008, Alexis propose de lui livrer sa version des faits – très différente de celle des ex-membres du groupe. C’est ce terreau (l’ouvrage consacré à Taxi Girl, les entretiens inédits de Daniel Darc, les mises au point d’Alexis Quinlin, le témoignage de nombreux proches) qui a nourri V2 sur mes souvenirs.Pierre Mikaïloff apporte un éclairage nouveau sur le parcours tumultueux de Daniel Darc : le succès à 20 ans, l’alcool, la drogue, l’anonymat et la déchéance des années 1990, et un spectaculaire retour salué par une « Victoire de la musique » en 2005. Proche de tous ceux qui ont connu Daniel Darc de 1978 à aujourd’hui (musiciens, producteurs, amis, journalistes, managers, groupies…), il a patiemment rassemblé les pièces du puzzle, livrant une biographie sans concession de celui qui lui avait un jour lancé : « N’écris pas une hagiographie. Quand j’ai fait des trucs moches, dis-le ! »
février 2014
Le groupe Taxi Girl (Daniel Darc, Mirwais…) a marqué le début des années 1980 avec le tube « Cherchez le garçon ». Après un dernier hit en 1986, « Aussi belle qu’une balle », Daniel et Mirwais se séparent et entament une longue traversée du désert. Mirwais effectue un retour spectaculaire en 2000 en produisant Madonna. Quant à Daniel, au bout d’une longue errance qui le mène un temps en prison, il rencontre la religion, mais aussi Frédéric Lo qui orchestre son retour inespéré avec Crèvecœur, en 2004, un album qui lui vaudra une « Victoire de la musique ».En août 2007, Pierre Mikaïloff interviewe Daniel Darc. Deux mois plus tard, Daniel lui demande de l’aider à écrire son « I Need More », en référence à l’autobiographie d’Iggy Pop, l’un de ses héros. Les deux hommes entament alors une série d’entretiens où tous les aspects de la vie tumultueuse du chanteur sont abordés, mais qui resteront inédits.Lors de la parution du livre Cherchez le garçon, l’un des personnages clés de la saga Taxi Girl, leur controversé manager Alexis Quinlin, purge une longue peine de prison aux États-Unis. Pierre Mikaïloff lui adresse un exemplaire du livre et, lorsqu’il bénéficie d’une libération anticipée en 2008, Alexis propose de lui livrer sa version des faits – très différente de celle des ex-membres du groupe. C’est ce terreau (l’ouvrage consacré à Taxi Girl, les entretiens inédits de Daniel Darc, les mises au point d’Alexis Quinlin, le témoignage de nombreux proches) qui a nourri V2 sur mes souvenirs.Pierre Mikaïloff apporte un éclairage nouveau sur le parcours tumultueux de Daniel Darc : le succès à 20 ans, l’alcool, la drogue, l’anonymat et la déchéance des années 1990, et un spectaculaire retour salué par une « Victoire de la musique » en 2005. Proche de tous ceux qui ont connu Daniel Darc de 1978 à aujourd’hui (musiciens, producteurs, amis, journalistes, managers, groupies…), il a patiemment rassemblé les pièces du puzzle, livrant une biographie sans concession de celui qui lui avait un jour lancé : « N’écris pas une hagiographie. Quand j’ai fait des trucs moches, dis-le ! »
février 2014