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Jacques BERTIN / BLESSÉ SEULEMENT
JBLIV6
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1 LIVRE - 110 PAGES / BLESSÉ SEULEMENT DE JACQUES BERTIN / FRAGMENTS, NOTES, ÉRUCTATIONS, LARMES ET PROTESTATIONS...
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BLESSÉ SEULEMENT DE JACQUES BERTIN
UN LIVRE - 110 PAGES
Ce livre de poèmes («fragments, notes jetées, morceaux de chansons, éructations, larmes vaines et protestations ahuries»), d’un lyrisme tout à fait hors de saison (certains ricaneurs diront «démodé»…), est magnifique et poignant comme les grandes chansons de Brel ou de Ferré.
«Elle est poignante, cette poésie. Poignante et belle tant l’œuvre de Bertin exalte au sein d’une parole dépourvue d’inutiles apparats la richesse imaginative de la langue et sa simplicité. Brève ou ample, accordée aux différentes ressources de la prosodie (l’impair, l’octosyllabe, l’alexandrin bien sûr, délesté de ses chaussures de plomb, les vers de quatorze, seize ou vingt-quatre pieds et leurs enjambements, la ligne libre, le verset comme la notation au vol, fulgurante), elle n’étreint pas seulement son lecteur, ce qui serait déjà beaucoup, mais possède le charme profond de réconcilier quiconque la découvre avec ses propres émotions.
"Les grands désastres de l’enfance" ainsi, ou cet automne, cette neige tombant derrière la vitre où seule compte désormais l’impondérable blancheur du silence, ces peupliers froissés par le vent au gré de la rivière brumeuse ou ces quelques mots qu’entre chant et diction sur scène Jacques Bertin chuchote ["La Cheminée" - La jeune fille blonde, Disque Velen ] :
On croit voir contre un talus loin brûler un fagot d’ailes d’anges
sanglantes arrachées aux espoirs et nos joies
Qui les recueillera ? Croyais-tu donc atteindre aux rives de la soie ?
Il le fallait il le fallait les Amériques sont là qui dérivent
cette candeur, cette eau qui sur nos mains maladroites ruisselle, ces désastres et ces Amériques, ces fagots d’ailes d’anges sont maintenant les nôtres, à jamais partagés.
C’est que nous sommes tous blessés, blessés seulement…
Les uns n’en ont cure, qui s’adonnent avant de mourir à des professions incongrues, éructent, bavent ou accablent autrui des maux dont ils ont soufferts.
D’autres s’en vont. Les moins regardants, les plus malheureux peut-être, ne veulent rien avouer des promesses qu’ils n’ont pas tenues.
C’étaient obligations de mômes, pas de quoi fouetter un chat tout de même, auxquelles il s’agissait de demeurer fidèle. Traverser la vie sans trop s’encombrer de bagages. Aimer. Se perdre ou marcher lentement parmi les herbes folles aux berges de la Loire et "ne dédire jamais", jamais, non, aurait-on faim, aurait-on soif ou ne sentirait-on sur ses lèvres qu’un froid baiser de cendre, "le serment d’ailes de papier" d’un enfant qui serrait contre lui son précieux cerf-volant, qui pleurait, riait, cassait des carreaux et contre tout bon sens mais éperdument "croyait en l’été". »
Lionel Bourg
UN LIVRE - 110 PAGES
Ce livre de poèmes («fragments, notes jetées, morceaux de chansons, éructations, larmes vaines et protestations ahuries»), d’un lyrisme tout à fait hors de saison (certains ricaneurs diront «démodé»…), est magnifique et poignant comme les grandes chansons de Brel ou de Ferré.
«Elle est poignante, cette poésie. Poignante et belle tant l’œuvre de Bertin exalte au sein d’une parole dépourvue d’inutiles apparats la richesse imaginative de la langue et sa simplicité. Brève ou ample, accordée aux différentes ressources de la prosodie (l’impair, l’octosyllabe, l’alexandrin bien sûr, délesté de ses chaussures de plomb, les vers de quatorze, seize ou vingt-quatre pieds et leurs enjambements, la ligne libre, le verset comme la notation au vol, fulgurante), elle n’étreint pas seulement son lecteur, ce qui serait déjà beaucoup, mais possède le charme profond de réconcilier quiconque la découvre avec ses propres émotions.
"Les grands désastres de l’enfance" ainsi, ou cet automne, cette neige tombant derrière la vitre où seule compte désormais l’impondérable blancheur du silence, ces peupliers froissés par le vent au gré de la rivière brumeuse ou ces quelques mots qu’entre chant et diction sur scène Jacques Bertin chuchote ["La Cheminée" - La jeune fille blonde, Disque Velen ] :
On croit voir contre un talus loin brûler un fagot d’ailes d’anges
sanglantes arrachées aux espoirs et nos joies
Qui les recueillera ? Croyais-tu donc atteindre aux rives de la soie ?
Il le fallait il le fallait les Amériques sont là qui dérivent
cette candeur, cette eau qui sur nos mains maladroites ruisselle, ces désastres et ces Amériques, ces fagots d’ailes d’anges sont maintenant les nôtres, à jamais partagés.
C’est que nous sommes tous blessés, blessés seulement…
Les uns n’en ont cure, qui s’adonnent avant de mourir à des professions incongrues, éructent, bavent ou accablent autrui des maux dont ils ont soufferts.
D’autres s’en vont. Les moins regardants, les plus malheureux peut-être, ne veulent rien avouer des promesses qu’ils n’ont pas tenues.
C’étaient obligations de mômes, pas de quoi fouetter un chat tout de même, auxquelles il s’agissait de demeurer fidèle. Traverser la vie sans trop s’encombrer de bagages. Aimer. Se perdre ou marcher lentement parmi les herbes folles aux berges de la Loire et "ne dédire jamais", jamais, non, aurait-on faim, aurait-on soif ou ne sentirait-on sur ses lèvres qu’un froid baiser de cendre, "le serment d’ailes de papier" d’un enfant qui serrait contre lui son précieux cerf-volant, qui pleurait, riait, cassait des carreaux et contre tout bon sens mais éperdument "croyait en l’été". »
Lionel Bourg
Jacques Bertin a été le premier poète vivant à être accueilli dans notre collection Poètes & Chansons, qui - à sa mesure modeste - ambitionne de brosser progressivement une sorte de panorama de la poésie mise en chanson. Non pas la chanson poétique, qui est une chose et qui nous a déjà offert de multiples merveilles ; mais la poésie habillée d’une mélodie et portée par une voix, qui est tout autre chose et procède d’une démarche différente. Un point sur lequel Bertin a d’ailleurs son point de vue bien arrêté : “ Je pense que je fais de la poésie chantée plutôt que de la chanson. J’essaie de faire des poèmes qui, à mes yeux, chantent déjà sur le papier. Après je les mets en chanson. ” Comme ont pu le faire un Ferré ou un Brassens des vers d’Aragon ou de Lamartine : avec le recul du compositeur devant le texte achevé.
Pour que sa poésie puisse circuler et respirer, hors de l’espace réduit des plaquettes à compte d’auteur et des revues confidentielles, Jacques Bertin s’est donc fait chanteur ; encouragé en cela par Luc Bérimont, poète émérite et homme de radio qui, sa vie durant, n’eut de cesse de lancer des passerelles entre poésie et chanson, à une époque où les tenants de la première affectaient de considérer la seconde avec une condescendance un peu navrée.
D’ailleurs, s’il fallait à tout prix tenter de rattacher Bertin à une quelconque école - disons plutôt une famille d’esprit - ce serait certainement celle de Rochefort, dont Bérimont fut l’un des fervents animateurs avec son ami René Guy Cadou. Jean Rousselot, qui fut des leurs, désigne comme “ poètes de la Loire ” les membres de cette école sans doctrine particulière, dont l’une des caractéristiques communes était incontestablement l’amour qu’ils portaient à la nature et à ces espaces de brume et de langueur baignés par le fleuve aux contours imprécis et mouvants.
C’est en partie sur les bords du grand fleuve que Jacques Bertin passa son enfance, et c’est là qu’il est revenu s’établir aujourd’hui, loin de cette agitation médiatique à laquelle il s’est toujours senti profondément étranger. Non pas de cette fausse indifférence du renard de La Fontaine devant ces raisins “ trop verts… et bon pour les goujats ”, parce qu’inaccessibles, mais par refus de toute compromission. Car Bertin est de ceux qui n’ont jamais voulu composer, quitte à en payer le prix fort, à l’aune des rebuffades, du désespoir et de la solitude. Ce qu’il résume d’une boutade, lui qui ne manque pas d’humour, malgré la profonde mélancolie qui irrigue le plus gros de son œuvre : “ La dignité, c’est mon hobby à moi… ”.
Jacques Bertin est l’un des grands poètes lyriques de notre temps, et il serait temps que cela se sache. Homme de racines et de fidélité, de droiture et de pudeur, marqué par une enfance qui - suite à des problèmes de santé - lui a laissé un profond “ sentiment de désertisme ”, ses thèmes de prédilection sont des thèmes simples : la maison, la nuit, les trains, le fleuve, la compassion pour les petites gens, les détails insignifiants de la vie quotidienne, les rendez-vous manqués et le temps assassin qui, dans son cortège de déroutes, emporte d’un même souffle les amours en charpie et “ L’écharpe nouée des amitiés qui s’envolent… ”
Alors : “ On fait des vers / Avec l’espoir, avec la vie / Avec les ongles qui s’accrochent au réel… ”, car le poète sait trop qu’“ Il n’y a que les mots pour posséder les gens longtemps… ”. Ces mots qu’il nous offre de son lointain silence, comme “ des lampes posées dans le creux de l’hiver ”.
Marc Robine
Jacques Bertin
BiographieJacques Bertin est journaliste de formation, élève de l'École supérieure de journalisme de Lille (41e promotion). Il vient à la chanson dès les années 1960, en 1966 il remporte le prix Jeunesse organisé par La Voix du Nord. Puis il chante à Paris au Théâtre populaire de la chanson, son premier album paraît en 19673 et devient la même année lauréat de l'Académie Charles-Cros. Il en a publié une vingtaine depuis.
Chanteur « à texte », il est à contre-courant de la variété et des modes et son œuvre n'aura jamais les faveurs des médias ni du grand public. Il a par contre été diffusé dans des émissions plus exigeantes, et s'efforçant de réagir à cette variété envahissant les ondes et jugée mièvre, telle que l'émission Y'a d'la chanson dans l'air de Jean-Louis Foulquier, sur France Inter4. Artiste sans compromissions, ses chansons sont partagées entre une inspiration politique et une autre éminemment poétique. Il s'est entouré de musiciens venus du jazz d'avant-garde, Didier Levallet, Siegfried Kessler. Un accompagnement qui reste sobre. Certains critiques, tel Claude Fléouter du Monde, ont estimé que ses textes prenaient trop le pas sur la musique : « sans doute Bertin devrait-il jouer beaucoup plus avec les couleurs de la musique, ne pas se contenter de ses deux musiciens-complices, d'ailleurs excellents, au piano et à la contrebasse, et prendre un groupe pour faire épanouir, éclater sa musique et mieux souligner ses mots. ».
Ce journaliste de formation a également dirigé de 1989 à 2000 les pages culturelles du magazine Politis, y tenant une chronique intitulée « Malin plaisir ». Il a continué de contribuer à cet hebdomadaire Politis jusqu'en 2001, avant de le quitter sur un différend politique.
Il a consacré un livre à Félix Leclerc. Jacques Bertin est attaché au Québec, et il y a chanté à de nombreuses reprises. Ce livre, Félix Leclerc, le roi heureux et un autre de ses ouvrages, Du vent, Gatine !, ont été publiés à Montréal6. Il a également consacré un film au poète René Guy Cadou, et un disque de chansons sur des poèmes de Luc Bérimont mis en musique par Reinhardt Wagner. Il est également l'auteur de poèmes.
Hommages
Jacques Bertin a obtenu deux fois le Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros durant sa carrière, la première fois en 1967 pour son premier disque, Corentin, et la deuxième fois en 1983 pour le disque du concert à l'Olympia, Changement de propriétaire, paru l'année précédente, où il se fait l'interprète de grands noms de la chanson11. Ses chansons ont fait l'objet d'une thèse de doctorat, soutenue en décembre 1999 à l'université Paris-XII6.
Lui-même est le fondateur du Prix Jacques Douai10.
Discographie
Intégrale vol. 1 - Corentin (1967) et Revoilà le soleil (1968)
Intégrale vol. 2 - Fête étrange (1970) et Claire (1972)
Intégrale vol. 3 - Besançon (1974) et Permanence du fleuve (1975)
Intégrale vol. 4 - Domaine de joie (1977) et Les visites au bout du monde (1980)
Intégrale vol. 5 - Ma vie mon œuvre (1984) et Paris Théâtre de la Ville (1985)
Changement de propriétaire (1982, interprétation des œuvres des autres)
Ma vie, mon œuvre (1984)
Théâtre de la Ville (1984, enregistrement public)
Café de la Danse (1989, enregistrement public)
Fête étrange (1991, compilation)
Le poids des roses (1991)
La blessure sous la mer (1993)
Hôtel du grand retour (1996)
Le grand bras, les îles (1999)
Bertin chante Bérimont (réédition en 2001)
La jeune fille blonde (2002)
No surrender (2005)
Que faire ? (2007, enregistrement public)
Comme un pays (2010)
Réédition (2011) de deux enregistrements publics : La Gaîté Montparnasse (avec Siegfried Kessler et Didier Levallet) (1978) et Aux oiseaux de passage, Québec (récital guitare - voix) (2000)
L'état des routes (2013)
Seul, dans le paysage (2016)
Ce qui reste, ce qui vient (2019)
Tous ces disques sont édités par la maison de disques Velen créée par Jacques Bertin.
Jacques Bertin chanté par Jacques Bertin, compilation aux éditions EPM, dans la collection Poètes et chansons (2003).
Jacques Bertin a également effectué la transcription en chanson de la 1ère gymnopédie d'Éric Satie pour Isabelle Bonnadier.
Jacques Bertin, né le 17 octobre 1946 à Rennes, est un chanteur, poète et journaliste français. Chanteur « à texte », il s'est placé à contre-courant de la variété en plein développement à partir de la seconde moitié des années 1960 et des modes de promotion de cette variété : émissions de télévision, diffusion massive dans les radios, magazines s'adressant aux adolescents, etc..
Sommaire
1 Biographie
2 Hommages
3 Discographie
4 Bibliographie
5 Filmographie
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Bibliographie
7.2 Liens externes
Biographie
Jacques Bertin est journaliste de formation, élève de l'École supérieure de journalisme de Lille (41e promotion)1. Il vient à la chanson dès les années 1960, en 1966 il remporte le prix Jeunesse organisé par La Voix du Nord. Puis il chante à Paris au Théâtre populaire de la chanson2, son premier album paraît en 19673 et devient la même année lauréat de l'Académie Charles-Cros. Il en a publié une vingtaine depuis.
Chanteur « à texte », il est à contre-courant de la variété et des modes et son œuvre n'aura jamais les faveurs des médias ni du grand public. Il a par contre été diffusé dans des émissions plus exigeantes, et s'efforçant de réagir à cette variété envahissant les ondes et jugée mièvre, telle que l'émission Y'a d'la chanson dans l'air de Jean-Louis Foulquier, sur France Inter4. Artiste sans compromissions, ses chansons sont partagées entre une inspiration politique et une autre éminemment poétique. Il s'est entouré de musiciens venus du jazz d'avant-garde, Didier Levallet, Siegfried Kessler. Un accompagnement qui reste sobre. Certains critiques, tel Claude Fléouter du Monde, ont estimé que ses textes prenaient trop le pas sur la musique : « sans doute Bertin devrait-il jouer beaucoup plus avec les couleurs de la musique, ne pas se contenter de ses deux musiciens-complices, d'ailleurs excellents, au piano et à la contrebasse, et prendre un groupe pour faire épanouir, éclater sa musique et mieux souligner ses mots. »5.
Ce journaliste de formation a également dirigé de 1989 à 2000 les pages culturelles du magazine Politis, y tenant une chronique intitulée « Malin plaisir »6. Il a continué de contribuer à cet hebdomadaire Politis jusqu'en 2001, avant de le quitter sur un différend politique7.
Il a consacré un livre à Félix Leclerc8. Jacques Bertin est attaché au Québec, et il y a chanté à de nombreuses reprises. Ce livre, Félix Leclerc, le roi heureux et un autre de ses ouvrages, Du vent, Gatine !, ont été publiés à Montréal6. Il a également consacré un film au poète René Guy Cadou9, et un disque de chansons sur des poèmes de Luc Bérimont mis en musique par Reinhardt Wagner. Il est également l'auteur de poèmes.
Hommages
Jacques Bertin a obtenu deux fois le Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros durant sa carrière10,6, la première fois en 1967 pour son premier disque, Corentin, et la deuxième fois en 1983 pour le disque du concert à l'Olympia, Changement de propriétaire, paru l'année précédente, où il se fait l'interprète de grands noms de la chanson11. Ses chansons ont fait l'objet d'une thèse de doctorat, soutenue en décembre 1999 à l'université Paris-XII6,12.
Lui-même est le fondateur du Prix Jacques Douai10.
Discographie
Intégrale vol. 1 - Corentin (1967) et Revoilà le soleil (1968)
Intégrale vol. 2 - Fête étrange (1970) et Claire (1972)
Intégrale vol. 3 - Besançon (1974) et Permanence du fleuve (1975)
Intégrale vol. 4 - Domaine de joie (1977) et Les visites au bout du monde (1980)
Intégrale vol. 5 - Ma vie mon œuvre (1984) et Paris Théâtre de la Ville (1985)
Changement de propriétaire (1982, interprétation des œuvres des autres)
Ma vie, mon œuvre (1984)
Théâtre de la Ville (1984, enregistrement public)
Café de la Danse (1989, enregistrement public)
Fête étrange (1991, compilation)
Le poids des roses (1991)
La blessure sous la mer (1993)
Hôtel du grand retour (1996)
Le grand bras, les îles (1999)
Bertin chante Bérimont (réédition en 2001)
La jeune fille blonde (2002)
No surrender (2005)
Que faire ? (2007, enregistrement public)
Comme un pays (2010)
Réédition (2011) de deux enregistrements publics : La Gaîté Montparnasse (avec Siegfried Kessler et Didier Levallet) (1978) et Aux oiseaux de passage, Québec (récital guitare - voix) (2000)
L'état des routes (2013)
Seul, dans le paysage (2016)
Ce qui reste, ce qui vient (2019)
Tous ces disques sont édités par la maison de disques Velen créée par Jacques Bertin.
Jacques Bertin chanté par Jacques Bertin, compilation aux éditions EPM, dans la collection Poètes et chansons (2003).
Jacques Bertin a également effectué la transcription en chanson de la 1ère gymnopédie d'Éric Satie pour Isabelle Bonnadier13.
Bibliographie
Impossible parler, Librairie Saint-Germain-des-Prés, 1975 (poèmes).
Dans l'ordre, poèmes et chansons, Éditions Saint-Germain-des-Prés, 1978.
Chante toujours, tu m'intéresses (ou les combines du show-biz), Éditions du Seuil, Collection Intervention, 198114.
Félix Leclerc, le roi heureux (Biographie), Éditions Arléa, Éditions Boréal (Québec), 1987.
Du vent, Gatine ! (Un rêve américain), Éditions Arléa, 1989.
Avec Pierre Veilletet, Plain-chant, pleine page (Poèmes et chansons 1968-1992), Éditions Arléa, 1992.
Blessé seulement (Poèmes inédits), Éditions de l'Escampette, 2005.
Une affaire sensationnelle (roman), Editions Le Condottiere, 2008.
Reviens, Draïssi !, Éditions le Condottiere, 2009.
Collectif, Sous le signe d'Hélène Cadou, édition du Traict, 2010.
Les traces des combats (poèmes et chansons de 1993 à 2010), Éditions le Condottiere, 2011.
Le dépanneur (Le Québec de A à Z vu par Jacques Bertin), Éditions Sylvain Harvey, 2011.
Filmographie
René Guy Cadou, de Louisfert à Rochefort-sur-Loire, un film de Jacques Bertin, réalisation Annie Breit (DVD éditions Velen).
Jacques Bertin, le chant d'un homme, un documentaire de Philippe Lignières et Hélène Morsly, 2006, 63 min.
Jean Dufour, un ouvrier dans la coulisse (ou : comment un ajusteur à la SNCF devint un imprésario des plus respectés), un film de Jacques Bertin et Etienne Louis, 2011 (DVD éditions Velen).
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